The ‘Betrayal’ of the Sixteenth-Century Bourgeoisie: A Myth? Some Considerations of the Behaviour Pattern of the Merchants of Antwerp in the Sixteenth Century

Abstract

J. Sentou concludes his study of real-property-based wealth in Toulouse at the close of the eighteenth century with the pronouncement that

dans la mesure où le profit cherche à s’investir presque uniquement dans la rente foncière, comme le négoce nous en fournit un bon exemple, le capitalisme commercial toulousain sera finalement dans l’incapacité de devenir un capitalisme industriel. L’inflation, au lieu de fournir des capitaux neufs qui auraient pu orienter les investissements dans un sens novateur, a été utilisée par la grande bourgeoisie toulousaine dans le sens le plus conservateur qui fût, c’est-à-dire l’accroissement de son capital immobilier.¹

This article is a translation of ‘Het verraad der 16de-eewse burgerij: een mythe?’ in Tijdschrift voor geschiedenis, LXXXVI (Groningen, 1973) 262–80.