Skip to main content

Zum Stand der Demokratietheorie in der Französischen Revolution

  • Chapter
Demokratietheorien

Part of the book series: Grundwissen Politik ((GPOL,volume 37))

  • 2171 Accesses

Zusammenfassung

Noch im März 1791, etwa anderthalb Jahre nach dem Sturm auf die Bastille, glaubte Thomas Paine in seiner Schrift „Die Rechte des Menschen“ feststellen zu können, dass es eine epochale Kontinuität zwischen der Amerikanischen und der Französischen Revolution gebe. „Was man vormals Revolutionen nannte, war nicht viel mehr als eine Veränderung der Personen oder der Lokalumstände. Sie stiegen und fielen gleichsam nach dem Laufe der Natur, und in ihrer Existenz und ihrem Schicksale war nichts enthalten, was über den Ort hinaus, der sie hervorbrachte, Einfluss haben konnte. Die Revolutionen in Amerika und Frankreich aber sind eine Erneuerung der natürlichen Ordnung der Dinge, ein System von Grundsätzen, die ebenso allgemein sind als die Wahrheit und die Existenz des Menschen, und die Moral mit politischer Glückseligkeit und Nationalwohlstand verbinden“.

This is a preview of subscription content, log in via an institution to check access.

Access this chapter

eBook
USD 29.95
Price excludes VAT (USA)
  • Available as PDF
  • Read on any device
  • Instant download
  • Own it forever
Softcover Book
USD 39.99
Price excludes VAT (USA)
  • Compact, lightweight edition
  • Dispatched in 3 to 5 business days
  • Free shipping worldwide - see info

Tax calculation will be finalised at checkout

Purchases are for personal use only

Institutional subscriptions

Preview

Unable to display preview. Download preview PDF.

Unable to display preview. Download preview PDF.

Literatur

  1. Paine 1973, S. 173. „What were formerly called Revolutions, were little more than a change of persons, or an alteration of local circumstances. They rose and fell like things of course, and had nothing in their existence or their fate that could influence beyond the spot that produced them. But what we now see in the world, from the Revolutions of America and France, are a renovation of the natural order of things, a system of principles as universal as truth and the existence of man, and combining moral with political happiness and national prosperity“ (Paine 1995, S. 194).

    Google Scholar 

  2. Vgl. Vossler 1964, S. 70ff.

    Google Scholar 

  3. Ebd. „Die amerikanischen Kolonisten wollen mit dem Rekurs auf Menschenrechte ihre Unabhängigkeit vom britischen Empire legitimieren; die Franzosen einen Umsturz des Ancien Regime. (…) Die amerikanischen Bill of Rights inventarisieren im wesentlichen den bestehenden Rechtsbesitz britischer Bürger. (…) die französische Deklaration soll hingegen prinzipiell neues Recht positiv erst zur Geltung bringen. Der revolutionäre Sinn der Deklaration ist in Frankreich die Begründung einer neuen Verfassung, in Amerika aber die Unabhängigkeit, in deren Folge allerdings eine neue Verfassung nötig wird“ (Habermas 1967, S. 57).

    Google Scholar 

  4. Hegel 1986, S. 529.

    Google Scholar 

  5. Ebd.

    Google Scholar 

  6. Moore 1969, S. 142.

    Google Scholar 

  7. Vgl. hierzu auch den kurzen Abriss bei Mittermaier/ Mair 1995, S. 102–107; Vorländer 2003, S. 71–75; Frevel 2004, S. 52–54.

    Google Scholar 

  8. Griewank 1972, S. 27.

    Google Scholar 

  9. Vgl. Sieyès 1981. Die deutsche Übersetzung wurde verglichen mit Sieves 1970.

    Google Scholar 

  10. Vgl. Talmon 1961, S. 63.

    Google Scholar 

  11. Sieyès 1981, S. 120. „Le plan de cet écrit est assez simple. Nous avons trois questions à nous faire. 1. Qu’est-ce que le Tiers état? — TOUT. 2. Qu’a-t-il été jusqu’à présent dans l’ordre politique? — RIEN. 3. Que demande-t-il? - A ETRE QUELQUE CHOSE“ (Sieyès 1970, S. 119).

    Google Scholar 

  12. Vgl. Kapitel III, § 3.

    Google Scholar 

  13. Sieves 1981, S. 165.

    Google Scholar 

  14. A.a.O., S. 179.

    Google Scholar 

  15. A.a.O., S. 165. „Mais franchissons les intervalles de temps. Les associés sont trop nombreux et répandus sur une surface trop étendue, pour exercer facilement eux-mêmes leur volonté commune. Que font-ils? Ils en détachent tout ce qui est nécessaire, pour veiller et pourvoir aux soins publics; et cette portion de volonté nationale et par conséquent de pouvoir, ils en confient l’exercice à quelques-uns d’entre eux. Nous voici à la troisième époque, c’est-à-dire, à celle d’un gouvernement exercé par procuration“ (Sieyès 1970, S. 178f).

    Google Scholar 

  16. Vgl. Kapitel III, § 6.

    Google Scholar 

  17. Ebd.

    Google Scholar 

  18. Sieyès 1981, S. 18If. „Vous vous écriez que si le Tiers état s’assemble séparément pour former, non les trois états dits Généraux, mais l’Assemblée nationale, il ne sera plus compétent à voter pour le clergé et la noblesse, que ces deux ordres ne le sont à délibérer pour le peuple. D’abord je vous prie de remarquer, ainsi que nous venons de le dire, que les représentans du Tiers auront incontestablement la procuration des vingt-cinq ou vingt-six millions d’individus qui composent la nation, à l’exception d’environ deux cents milles nobles ou prêtres. C’est bien assez pour qu’ils se décernent le titre d’Assemblée nationale. Ils délibéront donc sans aucune difficulté pour la nation entière, à l’exception seulement de deux cents mille têtes” (Sieyès 1970, S. 199).

    Google Scholar 

  19. A.a.O., S. 170f.

    Google Scholar 

  20. A.a.O., S. 170.

    Google Scholar 

  21. A.a.O., S. 165.

    Google Scholar 

  22. Vgl. Kapitel III, § 3.

    Google Scholar 

  23. Sieyès 1981, S. 167.

    Google Scholar 

  24. „Les avantages par lequels les citoyens diffèrent, sont au-delà du caractère de citoyen. Les inégalités de propriété et d’industrie sont comme les inégalités d’âge, de sexe, de taille, de couleur, etc. Elles ne dénaturent nullement l’égalité du civisme; les droits du civisme ne peuvent point s’attacher à des différences. Sans doute, ces avantages particuliers sont sous la sauvegarde de la loi; mais ce n’est pas au législateur à en créer de cette nature, à donner des privilèges aux uns, à les refuser aux autres. La loi n’accorde rien, elle protège ce qui jusqu’au moment où ce qui est commence à nuire à l’intérêt commun. Là seulement sont placées les limites de la liberté individuelle“ (Sieyès 1970, S. 208f).

    Google Scholar 

  25. A.a.O., S. 209.

    Google Scholar 

  26. A.a.O., S. 136.

    Google Scholar 

  27. A.a.O., S. 179, FN 33. „Ces messieurs ignorent que des représentons ne sont point des démocrates; que la véritable démocratie étant impossible chez un peuple nombreux, il est insensé d’y croire ou d’avoir l’air de la redouter; mais que la fausse démocratie n’est, hélas! que trop possible“ (Sieyès 1970, S. 196, FN).

    Google Scholar 

  28. Ballhausschwur, in: Grab 1973, S. 32.

    Google Scholar 

  29. Erklärung der Menschen- und Bürgerrechte, in: Grab 1973, S. 37–39.

    Google Scholar 

  30. Verfassung von 1791, in: Grab 1973, S. 64.

    Google Scholar 

  31. A.a.O., S. 67.

    Google Scholar 

  32. A.a.O., S. 64.

    Google Scholar 

  33. A.a.O., S. 61.

    Google Scholar 

  34. A.a.O., S. 65.

    Google Scholar 

  35. Zit. n. Sterling 1965, S. 165f.

    Google Scholar 

  36. A.a.O., S. 166.

    Google Scholar 

  37. Vgl. Kapitel III, § 2.

    Google Scholar 

  38. Griewank 1972, S. 49f.

    Google Scholar 

  39. A.a.O., S. 54.

    Google Scholar 

  40. Robespierre 1974, S. 258.

    Google Scholar 

  41. Griewank 1972, S. 82.

    Google Scholar 

  42. Furet/Ozouf 1996, S. 655.

    Google Scholar 

  43. A.a.O., S. 651.

    Google Scholar 

  44. A.a.O., S. 655.

    Google Scholar 

  45. Die Verfassung der französischen Republik von 1793, in: Grab 1973, S. 152.

    Google Scholar 

  46. Ebd.

    Google Scholar 

  47. A.a.O., S. 153.

    Google Scholar 

  48. A.a.O., S. 155.

    Google Scholar 

  49. A.a.O., S. 153.

    Google Scholar 

  50. Vgl. Kapitel I, § 3.

    Google Scholar 

  51. Die Verfassung der französischen Republik von 1793, in: Grab 1973, S. 153f.

    Google Scholar 

  52. A.a.O., S. 155.

    Google Scholar 

  53. A.a.O., S. 157.

    Google Scholar 

  54. A.a.O., S. 158.

    Google Scholar 

  55. Ebd.

    Google Scholar 

  56. A.a.O., S. 159.

    Google Scholar 

  57. Vgl. Robespierre 1973, Bd.II, S. 150: „La nation entière a le droit de connaître la conduite de ses mandataires. Il faudrait, s’il était possible, que l’assemblée des délégués du peuple délibérât en présence du peuple entier. Un édifice, vaste et majestueux, ouvert à 12 000 spectateurs, devrait être le lieu des séances du corps législatif. Sous les yeux d’un si grand nombre de témoins, ni la corruption, ni l’intrigue, ni la perfidie n’oseraient se montrer; la volonté générale serait seule consultée, la voix de la raison et de l’intérêt public serait seule entendue“.

    Google Scholar 

  58. Vgl. a.a.O., S. 153: „Je veux que tous les fonctionnaires publics nommés par le peuple puissent être révoqués par lui, selon les formes qui seront établies, sans autre motif que le droit imprescriptible qui lui appartient de révoquer ses mandataires“.

    Google Scholar 

  59. So schlug Robespierre folgende Verfassungsartikel zum Schutz des kleinen Eigentums vor: „Art. 1. La propriété est le droit, qu’a chaque citoyen de jouir et de disposer de la portion de biens qui lui est garantie par la loi. Art. 2. Le droit de propriété est borné, comme tous les autres, par l’obligation de respecter les droits d’autrui. Art. 3. Il ne peut préjudicier ni à la sûreté, ni à la liberté, ni à l’existence, ni à la propriété de nos semblables. Art. 4. Toute possession, tout trafic qui viole ce principe est illicite et immoral“ (Robespierre 1973, Bd.II, S. 135).

    Google Scholar 

  60. Vgl. Kapitel III, § 3.

    Google Scholar 

  61. Robespierre 1974, Bd.HI, S. 344. „Quelle nature de gouvernement peut réaliser ces prodiges? Le seul gouvernement démocratique ou républicain: ces deux mots sont synonymes, malgré les abus du langage vulgaire; car l’aristocratie n’est pas plus la république que la monarchie. La démocratie n’est pas un état où le peuple, continuellement assemblé, règle par lui-même toutes les affaires publiques, encore moins celui où cent mille fractions du peuple, par des mesures isolées, précipitées et contradictoires, décideraient du sort de la société entière: un tel gouvernement n’a jamais existé, et il ne pourrait exister que pour ramener le peuple au despotisme. La démocratie est un état où le peuple souverain, guidé par des lois qui sont son ouvrage, fait par lui-même tout ce qu’il peut bien faire, et par des délégués tout ce qu’il ne peut faire lui-même“ (Robespiere 1974, III, S. 113).

    Google Scholar 

  62. Robespierre 1974, Bd. II, S. 133: „Vous devez savoir que cette loi agraire, dont vous avez tant parlé, n’est qu’un fantôme créé par les fripons pour épouvanter les imbéciles; il ne fallait pas une révolution sans doute pour apprendre à l’univers que l’extrême disproportion des fortunes est la source de bien des maux et de bien des crimes, mais nous n’en sommes pas moins convaincus que l’égalité des biens est une chimère“.

    Google Scholar 

  63. Griewank l972, S. 93.

    Google Scholar 

  64. A.a.O., S. 97.

    Google Scholar 

  65. Zit. n. Sterling 1965, S. 174.

    Google Scholar 

  66. Grab 1973c, S. 329.

    Google Scholar 

  67. A.a.O., S. 174.

    Google Scholar 

  68. Zit. n. Sterling 1965, S. 174.

    Google Scholar 

  69. Die Direktorialverfassung, in: Grab 1973, S. 245.

    Google Scholar 

  70. Vgl. a.a.O., S. 253ff.

    Google Scholar 

  71. Die Konzeption Babeufs hat Buonarroti 1975 überliefert. Die deutsche Übersetzung wurde verglichen mit Buonarroti 1957.

    Google Scholar 

  72. Babeuf 1975, S. 319. „Le silence n’est pas un consentement tacite. 1. Parce qu’il a été commandé par une longue terreur, par l’assassinat et l’embastillement des patriotes. 2. Parce que l’acte constitutionnel de 1795 viole les droits naturels de l’homme, auxquels personne ne peut renoncer. Ce silence est donc un désaveu formel. Il suit de ce raisonnement, auquel nous défions tous les fauteurs de l’inégalité de réprondre: 1. Que la constitution de 1793 est la seule et véritable loi du peuple français. 2. Que l’acte de 1795 est le résultat de la violence et de la tyrannie qu’on ne saurait défendre sans crime. 3. Que nul ne peut exercer, sans trahison, envers le peuple, les pouvoirs qui émanent de cet acte contre-révolutionaire“ (Babeuf, zit. nach Buonarroti 1957, S. 129).

    Google Scholar 

  73. A.a.O., S. 323.

    Google Scholar 

  74. „Les chartes aristocratiques de 1791 et de 1795 rivaient tes fers au lieu de les briser. Celle de 1793, était un grand pas de fait vers l’égalité réelle, on n’en avait pas encore approché de si près; mais elle ne touchait pas encore le but et n’abordait point le bonheur commun, dont pourtant elle consacrait solennellement le grand principe“ (Babeuf, zit. n. Buonarroti 1957, S. 97f).

    Google Scholar 

  75. Vgl. Saage 2002, S. 131–152.

    Google Scholar 

  76. Babeuf 1975, S. 312. „Les malheurs et l’esclavage découlent de l’inégalité, et celle-ci de la propriété. La propriété est donc le plus grand fléau de la société: c’est un véritable délit public“ (Babeuf, zit. n. Buonarroti 1957, S. 104).

    Google Scholar 

  77. A.a.O., S. 313. „Dans une véritable société, il ne doit y avoir ni riches (ni) pauvres. (…) Les riches qui ne veulent pas renoncer au superflu en faveur des indigents sont les ennemis du peuple“ (Babeuf, zit. n. Buonarroti 1957, S. 105).

    Google Scholar 

  78. Vgl. a.a.O., S. 329.

    Google Scholar 

  79. Vgl. a.a.O., S. 330.

    Google Scholar 

  80. Vgl. ebd.

    Google Scholar 

  81. Babeuf 1973, S. 283.

    Google Scholar 

  82. A.a.O., S. 282f.

    Google Scholar 

  83. Babeuf 1975, S. 331.

    Google Scholar 

  84. Vgl. Kapitel I, § 4.

    Google Scholar 

  85. Vgl. Burke 1987. Die deutsche Übersetzung wurde verglichen mit Burke 1969.

    Google Scholar 

  86. Vgl. hierzu Pesch 1999, S. 52.

    Google Scholar 

  87. Burke 1987, S. 243.

    Google Scholar 

  88. Ebd. „There may be situations in which the purely democratic form will become necessary. (…) This I do not take to be the case in France, or of any other great country. Until now, we have seen no examples of considerable demeracies. The antients were better acquainted with them. Not being wholly unread in the authors, who had seen the most of those constitutions, and who best understood them, I cannot help concurring with their opinion, that an absolute democracy, no more than absolute monarchy, is to be reckoned among the legitimate forms of government. They think it rather the corruption and degeneracy, than the sound constitution of a republic. If I recollect rightly, Aristotle observes, than a democracy has many striking points of resemblance with a tyranny“ (Burke 1969, S. 228).

    Google Scholar 

  89. Ebd.

    Google Scholar 

  90. A.a.O., S. 289. „When the Anabaptists of Munster, in the sixteenth century, had filled Germany with confusion by their system of levelling and their wild opinions concerning property, to what country in Europe did not the progress of their fury furnish just cause of alarm? Of all things, wisdom is the most terrified with epidemical fanatism, because of all enemies it is that against which she is the least able to furnish any kind of resource. We cannot be ignorant of the spirit of atheistical fanaticism, that is inspired by a multitude of writings, dispersed with incredible assiduity and expence, and by sermons delivered in all the streets and places of public resort in Paris“ (Burke 1969, S. 262).

    Google Scholar 

  91. Burke 1987, S. 100.

    Google Scholar 

  92. A.a.O., S. 186.

    Google Scholar 

  93. A.a.O., S. 343.

    Google Scholar 

  94. „The government is the point of reference of the several members and districts of our representation. This is the center of our unity. This government of reference is a trustee for the whole, and not for the parts. So is the other branch of our public council, I mean the house of lords. With us the king and the lords are several and joint securities for the equality of each district, each province, city“ (Burke 1969, S. 303).

    Google Scholar 

  95. A.a.O., S. 104.

    Google Scholar 

  96. Vgl. Paine 1973. Die deutsche Übersetzung wurde verglichen mit Paine 1995.

    Google Scholar 

  97. Stemmler 1973, S. 14.

    Google Scholar 

  98. Vgl. Paine 1973, S. 169f.

    Google Scholar 

  99. A.a.O., S. 211.

    Google Scholar 

  100. „Though the ancient governments present to us a miserable picture of the condition of man, there is one which above all others exempts itself from the general description. I man the democracy of the Atheneans. We see more to admire, and less to condemn, in that great, extraordinary people, than in any thing which history affords. — Mr Burke is so little acquainted with constitutional principles of government, that he confounds democracy and representation together. Representation was a thing unknown in the ancient democracies. In those the mass of the people met and enacted laws (grammatically speaking) in the first person. Simple democracy was not other than the commonhall of the ancients. It signifies the form, as well as the public principle of the government. As these democracies increased in population, and the territory extended, the simple democratical form became unwieldy and impractible; and as the system of representation was not known, the consequence was, they either degenerated convulsively into monarchies, or became absorbed into such as then existed“ (Paine 1995, S. 229).

    Google Scholar 

  101. A.a.O., S. 215. „It is on this system that the American government is founded. It is representation ingrafted upon democracy. It has fixed the form by a scale parallel in all cases to the extent of the principle. What Athens was in miniature, America will be in magnitude. The one was the wonder of the ancient world; the other is becoming the admiration and model of the present. It is the easiest of all forms of government to be understood, and the most eligible in practice; and excludes at once the ignorance and insecurity of the hereditary mode, and the inconvenience of the simple democracy“ (Paine 1995, S. 232f).

    Google Scholar 

  102. A.a.O., S. 197. „Man, with respect to all those matters, is more a creature of consistency than he is aware, or that governments would wish him to believe. All the great laws of society are laws of nature. Those of trade and commerce, whether with respect to the intercouse of individuals, or of nations, are laws of mutual and reciprocal interest. They are followed and obeyed, because it is the interest of the parties so to do, and not on account of any formal laws they government may impose oder interpose. — But how often is the natural propensity to society disturbed or destroyed by the operations of government! When the latter, instead of being ingrafted on the principles of the former, assumes to exist for itself, and acts by partialities of favour and oppression, it becomes the cause of mischiefs it ought to prevent“ (Paine 1995, S. 216).

    Google Scholar 

  103. Zur Konvergenz der natürlichen Rechte der Menschen mit denen der Gesellschaft in Paines Ansatz vgl. grundlegend Habermas 1967, S. 62–78.

    Google Scholar 

  104. A.a.O., S. 199.

    Google Scholar 

  105. Stemmler 1973, S. 18.

    Google Scholar 

Download references

Authors

Rights and permissions

Reprints and permissions

Copyright information

© 2005 VS Verlag für Sozialwissenschaften/GWV Fachverlage GmbH, Wiesbaden

About this chapter

Cite this chapter

Saage, R. (2005). Zum Stand der Demokratietheorie in der Französischen Revolution. In: Demokratietheorien. Grundwissen Politik, vol 37. VS Verlag für Sozialwissenschaften. https://doi.org/10.1007/978-3-322-80774-8_7

Download citation

  • DOI: https://doi.org/10.1007/978-3-322-80774-8_7

  • Publisher Name: VS Verlag für Sozialwissenschaften

  • Print ISBN: 978-3-531-14722-2

  • Online ISBN: 978-3-322-80774-8

  • eBook Packages: Humanities, Social Science (German Language)

Publish with us

Policies and ethics