Retrospective analysis of the impact of symptom duration on prognosis in soft tissue sarcoma

Abstract

The objective was to assess whether time to diagnosis is influenced by patient/tumour-related factors and whether or not duration of symptoms has any impact on survival in soft tissue sarcoma. The study was an analysis of prospectively collected data for patients treated at our centre over a 20-year period. Risk factors were assessed by Kaplan–Meier analysis and the Cox proportional hazards model. Of 1,508 patients, 159 had metastatic disease at diagnosis and were excluded from analyses. In the remaining 1,349 patients overall 5-year survival was 60%. Duration of symptoms had a significant impact on survival (p = 0.0037) with each additional week of symptoms reducing the monthly hazard rate by 0.2%. Patient and tumour-related factors significantly associated with longer symptom duration were low-grade, subcutaneous tumours, and epithelioid or synovial sarcoma. Symptom duration was not associated with age/gender or tumour size. Patients with long symptom durations tend to have low-grade disease and a more favourable outcome than patients who experience short symptom durations.

Résumé

Le but de l’étude est de mettre en évidence l’influence du diagnostic précoce et son effet sur la survie des patients affectés de sarcomes des tissus mous. Une analyse prospective de recueil des données a été réalisée sur une période de 20 ans en utilisant la méthode de Kaplan–Meier. Sur 1,508 patients, 159 ont été exclus de l’analyse car ils présentaient déjà des métastases au moment du diagnostic. Sur les 1,349 patients restant, la survie moyenne à 5 ans a été de 60%. La précocité du diagnostic a un impact significatif sur la survie (p = 0.0037) et, chaque semaine additionnelle améliore le score. Les facteurs significatifs pour une évolution relativement longue sont les tumeurs de bas grade, les tumeurs sous-cutanées épithélioides ou synoviales. La longueur de l’évolution et la symptomatologie ne sont pas en relation avec l’âge, le sexe ou la taille de la tumeur. Les patients qui ont présenté une longue évolution des signes cliniques ont plutôt une tumeur de bas grade et leur avenir est plus favorable que les patients don't l’évolution symptomatique est très courte.