Summary
In the hope of reducing the incidence of pneumothorax associated with brachial plexus block anaesthesia, a short-needle technique, using the supraclavicular approach, is described and the results in 82 eases are analysed.
Rather than use a mobile marker on a long needle shaft, the short needle is preferred as a safety precaution. The penetration of the short needle is necessarily limited to its length when the shank impinges upon the depressed skin surface. A 1/2-in., 24-gauge needle was used in the majority of cases. Since the success of the short-needle technique depends on causing the brachial plexus bundle to come as close as possible to the supraclavicular skin surface, special recommendations with regard to posturing of the patient are given.
The anaesthetist performs the block while standing at the head of the table behind the shoulder of the patient, on the side to be blocked.
The only criterion for a properly placed needle is paraesthesia, and the first rib is never sought as a deep landmark. Contact of the first rib with the needle is considered a hazard and an accident.
The short needle makes it possible to locate paraesthesias rapidly without fear of penetrating the pleura. Quick needle thrusts are made and the nerves of the brachial plexus are easily transfixed by the short, sharp, rapidly moving needle. The nerves are more likely to roll off from the path of a longer, larger gauge needle which is advanced cautiously and slowly.
An average of 24.5 cc. of a 11/2 per cent Xylocaine solution was used. The entire volume of solution is injected at the spot where paraesthesias are felt.
Complete anaesthesia developed rapidly in 75 patients. Delayed onsets were classified as failures. Absence of paraesthesias was also included in the failures although infiltration was not attempted in these cases. This accounts for the relatively high failure rate of 8.5 per cent.
An attempt was made to accelerate onset of anaesthesia by the application of ultrasound in eight patients. No definite conclusions were reached regarding the diffusion of anaesthetic solutions by ultrasound.
There were no pneumothoraces or other serious immediate or late complications. The anaesthetist is cautioned against the possibility of needle breakage.
Advantages of the short-needle technique are set forth in the discussion. It is pointed out that practical training in brachial plexus block anaesthesia is greatly facilitated by the short-needle technique.
Résumé
Dans le but de réduire la fréquence du pneumothorax, complication redoutable, associée à ľanesthésie régionale du plexus brachial, les auteurs présentent une modification ďune technique classique. Ils décrivent les résultats obtenus dans 82 cas pratiqués au moyen ďune aiguille courte passant par la voie ďapproche sus-claviculaire.
Au dire des auteurs, ľaiguille courte apporte plus de sécurité qu’une aiguille longue sur laquelle on a placé un guide mobile. Tout en pratiquant une pression sur les tissus mous au niveau du creux sus-claviculaire, la pénétration en profondeur de ľaiguille est nécessairement limitée à sa longueur. Une aiguille de 1/2 pouce de longueur et de calibre 24 a été utilisée dans la majorité des cas.
Attendu que le succès de cette technique dépend de la proximité du plexus vis-à-vis la région sus-claviculaire, certaines recommandations sont données sur la façon de placer le patient.
Ľanesthésiste prend place à ľarrière de la table du côté de la région à infiltrer.
Le seul critère qui indique que ľaiguille est bien en place est la paresthésie et la première côte n’est jamais recherchée comme point de repaire profond. Le contact de ľaiguille avec la première côte est un danger à éviter.
Ľaiguille courte permet de; faire rapidement le repérage de la paresthésie sans danger de perforer la plèvre. En donnant les coups de pointe de repérage rapidement, ľaiguille courte, de petit calibre, embroche facilement le nerf. Au contraire, une aiguille longue de plus grand calibre, avancée lentement et avec prudence, glisse plus facilement à côté des nerfs.
Une moyenne de 24.5 cc. ďune solution de Xylocaine à 11/2 ont été injectés à ľendroit même ou la paresthésie a été obtenue.
Une anesthésie rapide, presque immédiate, a été observée chez 75 patients. Les anesthésies à, retard ont été classifiées parmi les échecs. Les absences de paresthésie ont été également classifiées dans le groupe des échecs, bien que en ľoccurrence, ľinfiltration n’ait pas été pratiquée. Ceci explique un taux ďéchecs relativement élevé, se chiffrant à 8.5%.
Dans une tentative ďaccélérer le début de ľanesthésie, huit cas ont reçu des applications ďultrasons au niveau de la région infiltrée. Aucune conclusion définitive n’a été énoncée en ce qui regarde la rapidité de diffusion des solutions anesthésiques par les ultrasons.
Dans toute la série, il ne s’est pas présenté de pneumothorax ni ďautres complications sérieuses immédiates ou tardives.
Les auteurs mettent le lecteur en garde contre la possibilité de briser ľaiguille.
Les avantages de la technique sont’présentés dans la discussion. Entre autres, elle rend plus pratique et moins dangereuse ľenseignement ďune technique délicate.
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References
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Fortin, G., Tremblay, L. The short-needle technique in brachial plexus block. Canad. Anaesth. Soc. J. 6, 32–39 (1959). https://doi.org/10.1007/BF03014193
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DOI: https://doi.org/10.1007/BF03014193