Résumé
Des souris et des rats femelles ayant mis bas en présence d'un mâle et allaitant 6 petits sont castrées le 6e jour de la nouvelle gravidité. On leur donne une injection journalière de progestérone (0,1 à 10 mg) pour maintenir les blastocystes en survie et le 7e, 10e ou 15e jour, une injection de 0,5γ de folliculine pour provoquer l'ovoimplantation. La progestérone, même en hautes doses, ne permet jamais la réalisation de l'implantation, tandis que la folliculine la provoque, de fait que les femelles gravides ont des germes récemment implantés trois jours après l'injection d'ovocycline, c'est-à-dire le 10e, 13e ou 18e jour de la gravidité (Fig. 1).
Nous concluons de ces expériences que le retard de la nidation pendant la lactation est dû au manque d'hormone folliculaire, ce qui est démontré aussi par l'histologie des ovaires avant et après la nidation (Fig. 2 et 3).
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S. Bloch, Bull. Schweiz. Akad. med. Wiss.4, 309 (1948).
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Bloch, S. Experimentelle Untersuchungen über die hormonalen Grundlagen der Implantation des Säugerkeimes. Experientia 14, 447–449 (1958). https://doi.org/10.1007/BF02327366
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DOI: https://doi.org/10.1007/BF02327366