Über das Eindringen von Schwankungen der meteorologischen Elemente in Gebäude

Zusammenfassung

Die Erfahrungen der Wetterfühligkeitsforschung verlangen, daß das für die Auslösung der meteoropathologischen Erscheinungen verantwortliche Element im wesentlichen ungehindert in Gebäude eindringen kann. Da dies sicher nicht für alle meteorologischen Elemente und nicht für alle möglichen Frequenzen ihrer Schwankungen der Fall ist, kann eine Untersuchung der Durchlässigkeit der Gebäude für diese Schwankungen bei der Suche nach dem meteorologischen Wetterfühligkeitsfaktor behilflich sein. Die Ergebnisse der in der vorliegenden Arbeit durchgeführten größenordnungsmäßigen Betrachtungen sind unter „Schlußfolgerungen” zusammengefaßt.

Summary

As is known from the experience in meteoropathology the meteorological factor that acts as loosening for the changes in the state of health of men must be able to penetrate the walls of buildings without being sensibly weakened. Certainly this will not be the fact for all meteorological elements and for all possible frequencies of their oscillations. Accordingly an examination of the penetrability of buildings for these oscillations will be a useful means in searching the meteorotropic factor. The results of such an overall examination carried out in this paper are about the following: Oscillations of pressure may enter normal buildings unchanged if the order of their frequencies is not higher than 1 cycle/sec, while variations of any sort of atmospheric pollution, including chemical compounds, will be weakened if their periods are less than 1 h at least. With the latter variations, changes of phase will take place already if the periods are of the order of a day. Variations of such pollutions must therefore be observed in the same room where physiological tests or observations are made if they shall be reliable in meteoropathological research.

Résumé

En météoropathologie les expériences doivent être fondées sur l'hypothèse que les phénomènes météorologiques déclanchant les réactions physiologiques ne subissent pas de modifications appréciables à l'intérieur des bâtiments. Ce n'est certainement pas le cas pour tous les facteurs météorologiques ni pour toutes les fréquences possibles de leurs variations. Il est évident qu'un examen de l'effet des bâtiments sur ces facteurs est d'une grande importance pour les hypothèses de la météoropathologie. Les résultats généraux obtenus dans le présent travail sont à peu près les suivants. Les variations de pression subsistent inchangées dans des locaux fermés pour autant que l'ordre de grandeur de leur fréquence ne dépasse pas 1 cycle/sec., tandis que les variations de la pollution atmosphérique, y compris les composantes chimiques, sont affaiblies si leur période est inférieure à une heure au moins. Dans ce dernier cas il se produit un changement de phase si la période est de l'ordre de 24 heures. Il convient par conséquent d'observer les variations de telles pollutions de l'air dans le local même où ont lieu les expériences physiologiques ou les observations cliniques si l'on veut établir une relation météoropathologique valable de cause à effet.