Der Gehalt der Rinden verschiedener Baumarten an Mengen- und Spurenelementen

Zusammenfassung

• Ia. Der Gehalt der untersuchten Rinden und des Bastes verschiedener Baumarten an Mengenelementen bleibt unter jenem der Gräser, Kräuter und Leguminosen zurück. Ib. Der Gehalt an Spurenelementen ist im Durchschnitt ein wesentlich höherer, vor allem an jenen, die für den tierischen Stoffwechsel von Bedeutung sind. Dieser Tatbestand könnte wohl als eine der möglichen Ursachen für das Schälen des Rotwildes gedeutet werden. Ic. Der Gehalt des Baumbartes an Mengenelementen bleibt wie bei Rinde und Bast unter jenem der Gräser, Kräuter und Leguminosen zurück. Sein Gehalt an Spurenelementen weist jedoch eine ähnlich günstige Versorgung wie Rinde und Bast auf, übertrifft diese aber noch bei Fe und Cr um ein Beträchtliches, bleibt dagegen bei Mn stark zurück, erreicht aber hier immerhin noch die über dreifachen Werte der Vergleichsbasis. Die Vermutung, daß dieser hohe Gehalt an Spurenelementen einen möglichen Anreiz für seine Aufnahme durch das Rotwild bieten könnte, liegt daher nahe.

• II. Die Frage, ob es sich beim Schälen des Wildes um eine echte Mangelerscheinung oder gar um eine natürliche Quelle zur Versorgung mit den lebensnotwendigen Spurenelementen handelt, bleibt noch ungeklärt. Es dürfte jedoch nicht von der Hand zu weisen sein, daß für einen etwaigen Wirkstoffmangel die Tatsache spricht, daß auch im Sommer bei Vorhandensein normaler und ausreichender Äsungsverhältnisse und selbst bei geringer Wilddichte geschält wird, ein Umstand, der als echter Wirkstoffmangel gedeutet, werden könnte.

• III. Zwischen der bevorzugt geschälten Esche und der Fichte einerseits und der nur wenig gefragten Tanne wie der verschmähten Birke andererseits besteht ein gewisses Gefälle an Mengen- und Spurenelementen derart, daß Esche und Fichte im Durchschnitt weitaus besser versehen sind als Tanne und Birke, die meist an vorletzter und letzter Stelle innerhalb der untersuchten Baumarten stehen.

• IV. Geruchs- und Geschmacksstoffe dürften zweifellos auch beim Schälen einen gewissen Anreiz geben, so vor allem z. B. der hohe Na-Gehalt der Esche und Fichte.

• V. Es ist vorgesehen, die Analysenreihe zahlenmäßig zu erhöhen und auch auf weitere Baum- und Straucharten auszudehnen, um die bisher gewonnenen Werte zu festigen und zu sichern.

Summary

• Ia. The contents of quantity elements in barks and basts investigated of different kinds of trees remains inferior to that of grasses, herbs, and leguminosis. Ib. The contents in trace elements is in an average much superior, especially those that are of significance for animal metabolism. This fact might be considered to be one of the possible causes of peeling the bark by red deer. Ic. The contents of the tree barb in quantity elements remains inferior to that of grasses, herbs, and leguminosis, the same as in bark and bast. But its contents in trace elements shows a similar favorable provision as that of bark and bast, superceding it considerably in Fe and Cr, while lacking considerably in Mn, although here reaching more than threefold the values of the comparison basis. The supposition that this high contents in trace elements may offer a possible lure for its use by red deer is therefore near at hand.

• II. The question of the deer's peeling bark proves a real lack or even is a natural way of assimilizing the trace elements necessary for life, is still to be answered. But it cannot be denied that a possible lack of growth elements seems to be proved by the fact that even in summer when normal and sufficient feed and only a wide spread deer population are observed, bark is peeled, a circumstance which my be looked upon as a real lack in growth elements.

• III. Between ash, which is being peeled with preference, and spruce fir on the one hand, and the only scarcely peeled fir tree and nerver peeled birch on the other hand there exists a certain decline in quantity and trace elements thus that ash and spruce on an average contain much more than fir tree and birch, which generally take the last place and the last place but one in the series of trees investiaged.

• IV. Odorous and savory materials would doubtlessly induce to peeling, too, for example above all the high contents of Na in ashtree and fir tree.

• V. It is intended to increase the series of analysis in numbers, and to extent it to other species of trees and shrubs in order to stabilize and ascertain the values obtained up to now.

Résumé

• Ia. Le contenu en éléments mixtes qu'on a trouvé dans les écorces et le liber de différentes espèces d'arbre examinées reste en dessous de celui trouvé dans les graminées, les herbes et les légumineux. Ib. Le contenu en éléments substantiels est en moyenne considérablement plus haut, surtout en ceux qui sont important pour l'échange organique chez l'animal. On pourra interprété ce fait comme étant une des raisons probable pour la décortication commis par les cerfs et les chevreuils. Ic. Le contenu en éléments mixtes de l'arête des arbres trouve-tout comme pour l'écorce et Je liber-étant en dessous de celui des graminées, herbes et l'égumineux. Cependant, son contenu en éléments substantiels accuse un approvisionnement pareillement avantageux comme celui de l'écorce et le liber, mais surpasse encore consid'rablement ceux-ci en Fe et Cr, restant par contre très for en arrière pour le Mn, pour atteindre ici tout-de-même plus que les triples valeurs de la base de comparaison. De ce fait il est permis de présumer, que ce contenu en éléments substantiels est probablement l'incitation de son admission par les cerfs et chevreuils.

• II. La question se pose, à savoir si la décoratication commis par le gibier doit être considéré comme étant une veritable pénurie ou comme une des sources naturelles pour l'approvisionnement en éléments substantiels d'un besoin vital, n'est pas encore èclaircie. Cependant, on ne peut pas repousser la possibilité d'une pénurie en matières substantielles qui est encore soulignée par le fait, que même en été quand les conditions de trouver une pâturage normale et suffisantes sont bonnes et même avec une densité en gibier pas très forte les arbres sont décortiqués, détail qu'on pourra expliquer comme étant le signe d'une véritable pénurie en matières substantielles.

• III. Entre le frène et l'épicéa d'un côté et qui sont fréquemment soumis à la décortication et le sapin peu demandé et le bouleau dédaigné de l'autre côté il existe une certaine inclinaison parmi les élèments quantitatifs et substanciels de façon, qu'en moyenne le frène et l'épicéa en sont de loin mieux approvisionnés que le sapin et le bouleau qui, dans l'ordre des expèces d'arbre examinés occupent le plus souvent la dernière et l'avant-dernière place.

• IV. Les étoffes d'odeur et de gout constituent à eux même une certaine impulsion à l'écortication, ce qui est surtout le cas pour le contenu élevé en Na chez le frêne et le pin.

• V. Il est prévu d'augmenter la série des analyses en nombre et de les étendre sur d'autres espèces d'arbres et d'arbustes, pour pouvoir fixer et assurer les valeurs gagnées jusqu'ici.