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Expériences De Méthodologie Phénoménologique: L’Historiographie

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Morality within the Life - and Social World

Part of the book series: Analecta Husserliana ((ANHU,volume 22))

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Résumé

Dans la présente communication, en me référant notamment à quelques expériences que j’ai faites jusqu’ici et à des recherches récentes, je voudrais montrer comment il se peut que la phénoménologie husser-lienne offre une méthode très utile à l’historiographie. En effet je pense que de ma double occupation pendant plusieurs années (dédiée d’une part à l’analyse phénoménologique et de l’autre à l’histoire de la philosophie) sont sortis quelques résultats qui méritent d’être communiqués, dans le cadre de l’unité de la philosophie avec l’histoire (B. Croce).

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Notes

  1. E. Husserl, Historische Geisteswissenschaft (Ms K III 9, p. 13 [1934–35]

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  2. cité par H. Hohl, Lebenswelt und Geschichte, Alber, Freiburg im B.-München, 1962, p. 63.

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  3. Cf. aussi: E. Paci, Tempo e verità nella fenomenología di Husserl, Laterza, Bari, 1961;

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  4. A. Ales Bello, Edmund Husserl e la Storia, Nuovi Quaderni, Parma, 1972.

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  5. A-T. Tymieniecka, The Praise of Life, notamment: II, 2, 2: “The Other Self and the Social Circuit of the Life-World”, Phenomenology Information Bulletin, Belmont Mass. USA, Vol.6, 1982, pp. 94–95.

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  6. E. Husserl, Erste Philosophie, le partie: “Kritische Ideengeschichte” Husserliana, VII, p. 9.

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  7. Dans la tradition linguistique allemande, besinnen peut signifier “savoir”, “considérer”, “être sage”. Besinnung dénote “maîtrise de soi” (sui compos esse). Cf. J. Grimm et W. Grimm, Deutsches Wörterbuch, Leipzig, 1854, Vol. I, sub verbum.

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  8. E.. Husserl, Erste Philosophie, Husserliana, VII, p. 173.

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  9. E. Husserl, Die Krisis der europäischen Wissenschaften und die transzendentale Phänomenologie, Husserliana, XXVIII Beilage, p. 511. Pour le point de départ de la philosophie,

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  10. cf. P. Valori, Ilmetodo fenomenologico e la fondazione delia filosofia, Desclée, Roma, 1959.

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  11. En procédant à la recherche de la pluralité des teléologies, Husserl passe du modèle évolutioniste aux intentions de la conscience transcendantale. On peut voir: M. Sancipriano, Teleology and the Constitution of Spiritual Forms. “Analecta Husserliana”, IX, 1979, p. 353;

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  12. L’evoluzione ideale. Fenomenología pura e teoria delTevoluzione, Morcelliana, Brescia, 2e edit. 1961.

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  13. H. Hohl appelle “historische Reduction” le procedé par lequel Husserl (Erfahrung und Urteil, Ciaassen, Hamburg, 1954, p. 44) penètre aux origines du sens historique (Geschichtlichkeit) dans la Lebenswelt (H. Hohl, Ouvrage cité, p. 68).

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  14. A-T. Tymieniecka, Eros et Logos, Esquisse de phénoménologie de l’interiorité créatrice (1952), Nauwelaerts, Louvain-Paris, 1972, p. 17 s.

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  15. Ainsi M. Bémol se pose la question: “N’y a-t-il pas interêt à ne pas séparer l’histoire de la littérature de celle des autres activités intellectuelles ou spirituelles, la philosophie, la religion, les arts, les sciences, et à s’orienter vers cette entreprise, suggérée par Valéry et certes immensément difficile, d’une “histoire unique des choses de l’esprit”? (M. Bémol, Paul Valéry et la méthode scientifique en critique littéraire, “Literature and Science”, Proceedings of the Sixth Triennal Congress, International Federation for Modern Languages and Literatures. Oxford, 1955, p. 305.

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  16. “L’art a, parmi ses éléments nécessaires, ce propos d’organiser un système de choses sensibles qui possèdent cette propriété de se faire redemander sans jamais assouvir le besoin qu’elles provoquent (…). La création vise à produire l’objet qui engendre le désir de lui-même. C’est ce que j’appelle l’infini esthétique” (P. Valery, Cours de Poétique, 3, 1937–1939. Cf. J. Hytier, La Poétique de Valéry, Colin, Paris, 1953, p. 233).

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  17. P. Valéry, Au Platane, “Poésies”, Gallimard, 1942. Cf. A-T. Tymieniecka. Ouvrage cité, p. 69 s. A’ propos d’une préoccupation “que l’on pourrait nommer ontologique” (se realiser comme être pur) et d’une “tentation de l’esprit abandonné à lui-même et aux pouvoirs qu’il s’est arrogés”

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  18. cf. M. Raymond, Paul Valéry et la tentation de l’esprit, A’ la Baconnière, Neuchâtel, p. 43. — Parmi les représentants de la “nouvelle critique” française, au Colloque de la John Hopkins University de Baltimore (cf. “Modem Languages Notes”, LXXXIV, n. 4, 1972).

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  19. Jacques Derrida aboutit aussi à un examen du “moi pur” valéryen (A. James Arnold, Le centenaire de Paul Valéry aux États Unis, “Studi Francesi” (Torino), cah. 2, 1974, p. 250). En regardant son passé, Valéry lui-même affirme (1944): “Il y a un temps où je voyais. Je savais que l’essentiel était figure”. Alors il opposait le “monde sensible aux yeux” au “monde sensible à l’esprit et réservé”, ce qui suppose revélation, initiation, etc.

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  20. Ainsi avoue-t-il que c’était une sorte de mysticisme (D. Oster, Monsieur Valéry, Edit, du Seuil, Paris, 1981, p. 51). Madame Tymieniecka nous avise que ce n’est pas encore une ascèse religieuse, car “l’ascèse de l’esprit pur n’offre d’autre espoir que soi-même” (A-T. Tymieniecka, Eros et Logos, cité, p. 24).

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  21. Cf. en outre J. Derrida, Margins of Philosophy, (1972) translated vith additional notes par A. Bass, The Harvester Press, Brighton, 1982, notamment “Valéry’s sources” (A Lecture given 6 Nov. 1971, at the John Hopkins University), p. 273–306.

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  22. A-T. Tymieniecka, Poetica Nova. The Creative Crucibles of Human Existence and of Art, Part I: The Poetics of Literature, dans “The Philosophical Reflection of Man in Literature”, Reidel, Dordrecht (Holland), 1982, p. 5 du tiré a part.

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  23. A-T. Tymieniecka, Ouvrage cité, p. 15. Cf. aussi M. Natanson, Literature, Philosophy and the Social Sciences, Nijhoff, The Hague, 1962, II, 7: “Toward a Phenomenology of the Aesthetic Object”, p. 79–85.

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  24. D. Halliburton, Edgar Allan Poe. A Phenomenological View, Princeton University Press, Princeton, 1973, p. 21.

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  25. Pour une interprétation psychologique cf. M. Bonaparte, Edgar Poe. Sa vie, son oeuvre. Étude analytique, avec Avant-propos de Sigmund Freud, P. U. F., Paris, 1958: “De telles recherches (de psychologie analytique) ne prétendent pas expliquer le génie des créateurs, mais elles montrent quels facteurs lui ont donné l’éveil et quelle sorte de matière lui a été imposée par le destin (S. Freud, Avant-propos). C’est une affirmation importante, de la part du psychiatre qui avait écrit: “La nevrose est le negatif de la perversion. L’oeuvre d’art parfois aussi” (Vol. I, p. 102).

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  26. D. Halliburton, Ouvrage cité, p. 42.

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  27. D. Halliburton, Ouvrage cité, p. 26 s.

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  28. E. A. Poe, The Complete Poems and Stories, with an Introduction by A. Hobsow Quinn, texts established by E. H. O’Neill, Knopf, New York, 1946, vol. I. p. 74.

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  29. On peut voir, à ce propos: M. Sancipriano, Il Logos di Husserl. Genealogía della logica e dinamica intenzionale, Bottega d’Erasmo, Torino, 1962;

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  30. M. Sancipriano, Il pensiero politico di Haller e Rosmini, Marzorati, Milano, 1967

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  31. C. L. von Haller, La restaurazione della scienza política, texte établi en traduction italienne par M. Sancipriano, UTET, Torino, 3 volumes, 1963–1981.

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  32. On peut rappeler ici Lamennais et ses “éternelles notions de la justice et de la charité” (F. Lamennais, Du passé et de l’avenir du peuple [1841], Paris, 1872, p. 191).

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  33. Cf. M. Sancipriano, Lamennais in Italia. Autorità e libertà nel pensiero filosofico-religioso del Risorgimento, Milano, 1973. On pourra lire ma communication presentée au “Collège de France”, sur Lamennais et la philosophie italienne du “Risorgimento” (Paris, 1982). Pour un jugement de Benedetto Croce sur la politique de Haller “speculativamente importante”

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  34. cf. B. Croce, Elementi di Política, Laterza, Bari, 1925.

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  35. On peut voir l’analyse du pouvoir par rapport au changement, dans l’essai de A. Berndtson, The Meaning of Power, “Philosophy and Phenomenological Research”, 1970, n.1, pp. 73–84.

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  36. Après H. G. Gadamer (Platos dialektische Ethik, Leipzig, 1931)

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  37. on trouve encore l’application de la méthode phénoménologique dans d’autres ouvrages récents: M. Zanatta, Dimensione política e problema del fondamento alle origini della filosofia occidentale, “Lo Stato e i Cittadini”. Edizioni Dehoniane. Napoli, 1982, pp. 37–60;

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  38. J. E. Swearingen, Reflexivity in Tristram Shandy An Essay in Phenomenological Criticism, Yale University Press, New Haven and London, 1977

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  39. E. Kaelin, Nature and Human Nature in Literary Contexts, Analecta Husserliana XIV, Reidel, Dordrecht, 1983, pp. 301–326;

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  40. Beverly Ann Schlack, Creative Consciousness and the Natural World in Virginia Woolf’s “The Waves”, ibidem, pp. 327–341. G. Magnani, Il método della fenomenología storica-comparata della religione, dans le volume: “La metodologia della ricerca religiosa” par A. Molinaro, Herder et Università Lateranense, Roma, 1983, p. 29–77;

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  41. F. Sancipriano, Ricerche etiche su Dostoevski]. II problema del male. Dissertation présentée à L’Université de Turin par le professeur Giuseppe Riconda en 1977. Dans cette dissertation, mon fils Francesco (1952–1978) développe sa thèse où l’on peut constater, dans le cadre d’une interprétation phénoménologique, l’évaluation des types moraux et des personnages qui agissent dans les romans de Dostoevskij. Il fait ici une application méthodologique qui fut probablemement inspirée de Heidegger, bien que l’issue en soit tout à fait personnelle. En effet, tout en se gardant de généraliser les figures et les caractères des personnages, il se propose le critère de les comprendre sur un double terrain: (a) de l’existence (“ontico”);

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  42. de l’essence et du jugement sur l’être (“ontologico”). Il se montre d’abord surpris de ce que plusieurs de ces personnages qui, selon notre sens commun, ne semblent jamais exister, nous sont tout de même familiers et nous aident à nous connaître nous-mêmes. Il repond à cette question en se référant à une “intenzionalità ontologica” par laquelle on arrive à un rapport plus authentique avec la réalité. Ainsi il se pose, dans le problème du mal, le rapport ontologique, Le péché n’arrive pas seulement à modifier la situation existentielle (“negazione ontica”), en corrompant le rapport de l’homme avec le monde; mais il tend aussi à bouleverser son rapport avec l’être, sa “nature” et son jugement sur lui-même (“negazione onto-logica”). (Dissertation cité p. 160). D’ici on parvient à la métaphysique du mal: celui-ci, étant purum nihil, s’appuie, pour être quelque chose, de façon parasitaire, sur la réalité de la personne. La personne humaine offre l’unique possibilité au mal moral de de se “réaliser”, c’est-à-dire d’avoir sa réussite (“riuscire onto logicamente”) (p. 278). Cela ne veut pas dire qu’on touche toujours le fond de l’abîme et que la révolte soit totale: il se peut qu’une certaine “fedeltà ontologica” survive et sauve l’homme de la perdition extrème (p. 182). Cette dissertation, qui montre un penchant pour “l’art cruel” de Dostoevski (N. K. Mikhailovsky), en relève de même l’essence dans une intention hyperréaliste et conclut avec un appel à la métaphysique de l’espérance. Loin d’opposer entre eux, comme dans la “différence ontologique” de Heidegger, le Sein et le Seiendes, cette recherche aboutit à reconnaître les propriétés virtuelles de l’existence humaine dans l’unité de l’être. Elle se refère enfin à l’ “ontologia dell’inesauribile” de L. Pareyson: par le concept de l’être inépuisable, on s’éloigne de l’issue négative, inévitable dans l’ “ontologia dell’ineffabile” de Heidegger (p. 76, 103).

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  43. Cf. L. Pareyson, Studi sull’esistenzialismo, Sansoni, Firenze, 1971, où l’on trouve déjà un procédé analogue à propos de certaines personnages de Dostoevski en tant qu’il sont “vivi nel loro significato speculativo” (p. 121);

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  44. L. Pareyson, L’ambiguità delluomo in Dostoevski], “Giornale di Metafísica”, Nuova serie, 1980, I, pp. 69–94;

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  45. R. Cantoni, Dostoevski] e Vesistenzialismo, “Atti del Congresso internazionale di Filosofia”, Istituto di Studi filosofici (Roma, 1946), Milano, 1948, pp. 143–157;

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  46. N. K. Mikhailovsky, Dostoevski]: A Cruel Talent [1882], traduct, par Spencer Cadmus, Ardis, Ann Arbor, 1978.

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  47. Quant à l’usage de la méthode phénoménologique, on peut voir aussi: M. Sancipriano, Per una fenomenología del potere, “Atti del XVII Convegno di studi filosofici tra professori universitari”, Brescia, 1963;

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  48. La pensée anthropologique de J. L. Vivès: Ventéléchie. “Arbeitsgesprach in der Herzog August Bibliothek Wolfenbüttel, (1980), Hauswedell, Hamburg, 1982.

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Sancipriano, M. (1987). Expériences De Méthodologie Phénoménologique: L’Historiographie. In: Tymieniecka, AT. (eds) Morality within the Life - and Social World. Analecta Husserliana, vol 22. Springer, Dordrecht. https://doi.org/10.1007/978-94-009-3773-4_9

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