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Part of the book series: Phaenomenologica ((PHAE,volume 221))

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Abstract

Nous abordons le dernier chapitre de la première partie consacré à l’indication formelle. Étant donné son lieu au sein même du cours du WS 1920/1921, gageons que la formale Anzeige doit faire l’articulation entre histoire et religion. Avant de voir comment, rappelons que cette notion n’a pas vu le jour dans l’EPR. Elle prend ses racines dans plusieurs écrits et plusieurs cours antérieurs. T. Kisiel soutient que c’est à travers la reprise explicitante de la logique formelle de l’analogie ou grammatica speculativa de Duns Scot, que Heidegger a pour la première fois tenté de « joindre ces extrêmes que sont le concret et le formel, la matière et sa méthode, le quoi et le comment de l’œuvre de toute sa vie ». Ailleurs, il affirme que c’est par le truchement de la notion laskienne de « catégorie réflexive » appliquée à la doctrine médiévale de l’analogia que l’indication formelle a germé dans l’esprit du jeune philosophe. Il y a donc tout lieu de penser que l’Habilitationsschrift marque l’acte de naissance de la formale Anzeige. Toutefois, la préhistoire de l’indication formelle ne s’arrête pas là. D’après J. Van Buren, Heidegger a d’abord « modelé son langage indicatif sur la via negativa des mystiques, sur l’Idée au sens kantien, sur la science individualisante de Dilthey et sur la philosophie néo-kantienne des valeurs », avant de se tourner vers la « méthode kierkegaardienne de la “communication indirecte” – qu’il rencontre notamment chez Jaspers –, la notion husserlienne d’expression indicative occasionnelle, et la méthode aristotélicienne de la désignation schématique ». Dans ce qui suit, nous nous proposons notamment d’explorer les plus déterminantes parmi ces influences. Cette approche ne traduit pas seulement l’obligation du commentaire ; elle s’inscrit également dans une stratégie interprétative déterminée par une certaine charité. Expliquons-nous.

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Notes

  1. 1.

    Cf. T. Kisiel, « L’indication formelle de la facticité : sa genèse et sa transformation », in J.-F. Courtine (éd.), Heidegger 1919–1929, Paris, Vrin, 1996, pp. 205–206.

  2. 2.

    Cf. T. Kisiel, « Das Kriegsnotsemester 1919: Heideggers Durchbruch zur hermeneutischen Phänomenologie », Philosophisches Jahrbuch, 99, 1992, p. 108.

  3. 3.

    J. Van Buren, « The Ethics of Formale Anzeige in Heidegger », American Catholic Philosophical Quarterly, 69, 1995, p. 158. À cela s’ajoute une hypothèse de Georg Imdahl (cf. « “Formale Anzeige” bei Heidegger », Archiv für Begriffsgeschichte, 37, 1994, pp. 306–332 ; Das Leben verstehen, Würzburg, Königshausen & Neumann, 1997, pp. 142–174) faisant état d’une influence possible du dernier Simmel (« Zur Metaphysik des Todes », Logos, 1, 1910–1911, pp. 57–70 – soit Lebensanschauung [1918], chap. iii) sur l’élaboration de l’indication formelle.

  4. 4.

    Pour clore cette entrée en matière, nous proposons une sélection de travaux sur le sujet qui se distinguent par leur discernement, leur érudition ou leur originalité. Outre les travaus cités en notes ci-dessus, cf. K. Lehmann, « Christliche Geschichtserfahrung und ontologische Frage beim jungen Heidegger » [1964], in O. Pöggeler (Hg.), Heidegger. Perspektiven zur Deutung seines Werkes, p. 147 sq. ; H.-G. Gadamer, « Der eine Weg Martin Heidegger » [1986], in GGW 3, pp. 428–430 ; O. Pöggeler, « Heideggers Logische Untersuchungen », in R. Blasche et al. (Hg.), Martin Heidegger: Innen- und Aussenansichten, Frankfurt a. M., Suhrkamp, 1989, pp. 75–100 ; T. C. Oudemans, « Heideggers “Logische Untersuchungen” », Heidegger Studien, 6, 1990, pp. 85–95 ; T. Kisiel, Genesis [1993], pp. 48–49, pp. 146–148, pp. 164–170 ; D. Dahlstrom, « Heidegger’s Methods: Philosophical Concepts as Formal Indications », Review of Metaphysics, 47, 1994, pp. 775–795 ; J. Van Buren, The Young Heidegger, pp. 324–342 ; T. Kisiel, « Die formale Anzeige. Die methodische Geheimwaffe des frühen Heidegger », in M. Hapel (éd.), Heidegger – neu gelesen, Würzburg, Königshausen & Neumann, 1997, pp. 22–40 ; H. de Vries, Philosophy and the Turn to Religion, Baltimore, The John Hopkins U. P., 1999, pp. 158–244, part. p. 203 sq. ; P. Quesne, Les Recherches Philosophiques du jeune Heidegger, Dordrecht, Kluwer, 2003, pp. 105–124 ; S. J. McGrath, « Formal Indication, Irony, and the Risk of Saying Nothing », in S. J. McGrath & A. Wiercsinki (eds.), A Companion to Heidegger’s Phenomenology of Religious Life [2010], pp. 179–205 ; S.-J. Arrien, « Foi et indication formelle », in S.-J. Arrien & S. Camilleri (éds.), Le jeune Heidegger (1909–1926), pp. 154–172 ; L. Villevieille, « Heidegger, de l’indication formelle à l’existence », Bulletin d’analyse phénoménologique, 9, 5, 2013 pp. 1–96.

  5. 5.

    G. Frege, « Über Sinn und Bedeutung » [1892], in Kleine Schriften, Darmstadt, WB, 1967, p. 146.

  6. 6.

    L’indication formelle est fondamentalement dirigée vers le concret : nous aurons plusieurs occasions de le vérifier, dans ce chapitre même, mais davantage encore dans l’examen de la seconde partie du cours.

  7. 7.

    T. Kisiel, Genesis, p. 172 ; S. J. McGrath, « Formal Indication, Irony, and the Risk of Saying Nothing », p. 201.

  8. 8.

    T. Kisiel, « L’indication formelle de la facticité : sa genèse et se transformation », p. 206.

  9. 9.

    Cf. J.-L. Marion, Étant donné, § 23.

  10. 10.

    J. Van Buren, The Young Heidegger, p. 326 sq. Examen sur des bases textuelles assez minces cependant.

  11. 11.

    Cf. notamment K. Jaspers, Psychologie der Weltanschauungen, Berlin, Springer, 1919, p. 35. Lorsque le livre est cité plus loin dans un propos de Heidegger, il est noté par le signe [PW].

  12. 12.

    K. Jaspers, Psychologie der Weltanschauungen [1919], p. 217.

  13. 13.

    Ibid.

  14. 14.

    Ibid. Pour des références directes, cf. pp. 370–379.

  15. 15.

    Jaspers cite S. Kierkegaard, Gesammelte Werke, Bd. VI, Philosophische Brocken. Abschliessende unwissenschaftliche Nachschrift, Jena, Diederichs, 1910 (= t. X/XI, in Œuvres, trad. fr. P.-H. Tisseau, Paris, L’Orante, 1977, traduction non suivie ici, mais seulement par la suite).

  16. 16.

    S. Kierkegaard, Gesammelte Werke, Bd. VI, p. 41 ; cité par K. Jaspers, Psychologie der Weltanschauungen [1919], p. 217.

  17. 17.

    Ibid., p. 41, cité d’après K. Jaspers, Psychologie der Weltanschauungen [1919], p. 217.

  18. 18.

    Ibid., p. 41, cité d‘après K. Jaspers, Psychologie der Weltanschauungen [1919], p. 217.

  19. 19.

    K. Jaspers, Psychologie der Weltanschauungen [1919], p. 218 ; se référant à Kierkegaard, Gesammelte Werke, Bd. VI, p. 258.

  20. 20.

    Cf. J. Van Buren, The Young Heidegger, p. 328.

  21. 21.

    S. Kierkegaard, Œuvres, t. XVI, p. 30.

  22. 22.

    Cf. S. Kierkegaard, Sur mon œuvre d’écrivain [1851], in Œuvres, t. XVII, trad. fr. P.-H. Tisseau, Paris, L’Orante, 1982, p. 266 sq.

  23. 23.

    Cf. S. Kierkegaard, La dialectique de la communication, in Œuvres, t. XIV, p. 123.

  24. 24.

    Cf. S. Kierkegaard, Œuvres, t. X, pp. 70–71.

  25. 25.

    M. Heidegger, Zur Sache des Denkens, Tübingen, Niemeyer, 1969, p. 81.

  26. 26.

    F. Brentano, Von der mannigfachen Bedeutung des Seienden nach Aristoteles, Freiburg, Herder, 1862.

  27. 27.

    Voir le CV de 1915, in T. Sheehan, « Heidegger’s Lehrjahre », p. 79 et p. 86.

  28. 28.

    Cf. par exemple M. Heidegger, « Foreword », in W. J. Richardson, Heidegger, Through Phenomenology to Thought, Den Haag, Nijhoff, 1963, p. 11 ; M. Heidegger, « Le chemin de campagne », trad. fr. A. Préau, in Questions III, Paris, Gallimard, 1966, p. 9.

  29. 29.

    Franco Volpi a montré que cela n’était qu’à moitié vrai. Si la dissertation est bien l’une des premières lectures philosophiques de Heidegger, sa thèse de doctorat, Die Lehre vom Urteil im Psychologismus (1913), consacre un chapitre entier au Brentano psychologue, donc celui de Husserl. Cf. F. Volpi, « La doctrine aristotélicienne de l’être chez Brentano et son influence chez Heidegger », in D. Thouard (éd.), Aristote au xix e siècle, Lille, PUS, 2004, p. 277 et p. 291.

  30. 30.

    G. Figal, « Heidegger als Aristoteliker », Heidegger-Jahrbuch, Bd. III, Heidegger und Aristoteles, 2007, p. 64, citant GA62, p. 174.

  31. 31.

    Cf. C. Sommer, Heidegger, Aristote, Luther, pp. 63–81 ; S. Jollivet, « Das Phänomen der Bewegtheit im Licht der Destruktion der aristotelischen Physik », Heidegger-Jahrbuch, Bd. III, Heidegger und Aristoteles, 2007, pp. 130–155.

  32. 32.

    Voir également Métaphysique, Δ, 7, 1017a23 : « Autant de fois il est dit, autant de fois l’étant signifie ».

  33. 33.

    J.-F. Courtine, Inventio Analogiae. Métaphysique et onto-théologie, Paris, Vrin, 2005, p. 21.

  34. 34.

    Cf. M. Heidegger, « Übungen über Aristoteles, de anima [SS 1921] », Heidegger-Jahrbuch, Bd. III, p. 14.

  35. 35.

    Invoquer Aristote pour entrer méthodologiquement sur le terrain de la vie religieuse : d’aucuns pourraient y voir un grand écart. Heidegger a un temps cru trouvé en Duns Scot une parfaite médiation. Mais il a vite entrevu que le cadre scotiste demeure scolastique au sens péjoratif du terme : on se heurte à un corpus officiel clos déjà synthétisé selon des orientations théoriques et pratiques particulières. Heidegger n’a cependant pas appeler à négliger la scolastique, mais seulement à revenir aux originaux. Cf. GA60, pp. 303–337 ; NB, pp. 31–33.

  36. 36.

    C. Sommer, Heidegger, Aristote, Luther, pp. 22–26. L’auteur dit bien que l’interprétation proto-heideggerienne d’Aristote passe en premier lieu par « une rupture avec l’aristotélisme traditionnel […] censée libérée les possibilités abritées par l’Aristote primitif pour nourrir la nouvelle anthropologie radicale portant sur l’être de la vie facticielle » (p. 22). Précisons toutefois que cette anthropologie fut d’abord celle de la vie chrétienne (ou proto-chrétienne) avant de devenir celle de la vie séculaire.

  37. 37.

    I. Kant, Vorlesungen über Metaphysik, AK, Bd. XXVIII, pp. 360–361 ; les deux passages sont cités par L. Freuler, Kant et la métaphysique speculative, Paris, Vrin, 1992, p. 140.

  38. 38.

    Pensons notamment à Appelt, Bonitz, Brentano, Prantl, Schuppe, Trendelenburg et Zeller. Cf. D. Thouard (éd.), Aristote au xix e siècle, Lille, PUS, 2004.

  39. 39.

    J. Van Buren (The Young Heidegger, p. 335) relève avec raison que cette assimilation se règle sur l’interprétation husserlienne (neutre) et l’interprétation natorpienne (mystique) de la doctrine kantienne des Idées – nous y revenons plus bas. Mais ce n’est qu’en partie le cas, car le cours du KNS montre que Heidegger se réfère avant tout à Kant lui-même.

  40. 40.

    Le problème fait le lien avec la méthode philosophique. Il ne sera pas trouver a priori dans la philosophie, pas davantage dans l’histoire de la philosophie (GA56/57, p. 21) ; car il réside à même la vie, ses effectuations, ses motivations, ses situations (GA56/57, p. 23, p. 210). Si donc la philosophie doit réfléchir sur elle-même, c’est parce qu’elle y est poussée par la vie. Et si donc elle se veut science de l’origine, c’est parce qu’il n’est pas d’origine plus originelle que la vie.

  41. 41.

    J. Van Buren, The Young Heidegger, p. 336. Notons que J. Van Buren surestime peut-être cette source mystique de l’indication formelle, en sorte que cette dernière ne se distingue plus que difficilement des méthodes de Kant et de Natorp qui y ont également puisé. C’est du moins la critique qui lui est adressée par Crowell (Husserl, Heidegger, and the Space of Meaning, pp. 6–13) qui, de son côté, surestime peut-être la source onto-logique (Aristote, un certain Kant, le néo-kantisme) de l’indication formelle. Il n’en reste pas moins vrai que le caractère ésotérique de l’indication formelle (T. Kisiel, S. J. McGrath) n’entraîne pas qu’elle soit vue comme exclusivement mystique au sens presque traditionnel du terme.

  42. 42.

    Bien sûr, il y a ici et là quelques percées vers un concept génétique de constitution, surtout à partir des Ideen II, dont Heidegger a pris connaissance à l’un ou l’autre moment de leur rédaction, c’est-à-dire entre 1912 et 1917. Ce n’est toutefois qu’au milieu des années 1920 (HUA XV, VIII, etc.) que sa phénoménologie devient « officiellement » génétique, après celle de Heidegger, qui l’est de facto dans les premiers cours de Freiburg.

  43. 43.

    Tout en étant conscient que le terme peut aussi bien être traduit par « universalisation ».

  44. 44.

    Certes, un certain nombre de textes du xvii e semblent ne pas faire de différence entre scientia generalis et scientia universalis. Cependant, ces deux sciences n’ont jamais non plus été proprement confondues.

  45. 45.

    Cf. respectivement Manuskript K I 53 (Zum Begriff der Operation), publié comme appendice à HUA XII, et Manuskript K I 9 (Herbart, Bolzano. Konsistenz in einer Mathesis). Ces informations sont tirées du catalogue (Identitätsverzeichnis), constamment réactualisé, édité par les Archives Husserl de Leuven.

  46. 46.

    F. de Lara, Phänomenologie der Möglichkeit, p. 177 n. 32.

  47. 47.

    C’est ce que dit Heidegger en pensant au § 13 des Ideen I, au risque de négliger le § 12 qui pose l’existence et l’effectivité d’une généralisation-G dans le domaine purement logique de la signification ou de la mathématique.

  48. 48.

    Il en va par exemple autrement dans la proposition : « Le silex est une pierre ». Ici, l’optique est déterminée par la matérialité puisqu’on cherche à faire entrer l’objet silex dans le genre « pierre » en vertu de la communauté matérielle entre le silex et l’objet pierre.

  49. 49.

    Cf. K. Brockhaus, « Konstitution », in HWPh, p. 999. Malgré ses avancées, Leibniz reste dépendant des « formes constitutives » des médiévaux.

  50. 50.

    Voir sur ce point P. Quesne, Les Recherches philosophiques du jeune Heidegger, pp. 142–147, pages qui discutent le parallèle entre accomplissement heideggerien et remplissement husserlien.

  51. 51.

    Maintes fois saluée par Heidegger. Cf. par exemple GA59, p. 154, et HBB, p. 11. Dans le même paragraphe des Grundprobleme (GA58, p. 59), Heidegger admet que la « recherche biographique la plus sérieuse » développe « un niveau supérieur du comprendre » par lequel il est éventuellement possible d’accéder à la « totalité de la vie » qui se donne initialement dans l’autobiographie.

  52. 52.

    Cf. R. Coyne, « Herméneutique et Confession : ce que le jeune Heidegger a trouvé chez Augustin » et C. Sommer, « (Qui) suis-je ? Quaestio mihi sum augustinienne et Seinsfrage heideggerienne », in S.-J. Arrien & S. Camilleri (éds.), Le jeune Heidegger (1909–1926), resp. pp. 185–212 et pp. 173–184.

  53. 53.

    J. Grondin, L’universalité de l’herméneutique, Paris, PUF, 1993, p. 29 (nous soulignons). Se référant notamment à H.-G. Gadamer, « Errinerungen an Heideggers Anfänge », Dilthey-Jahrbuch, 4, 1986–1987, p. 21.

  54. 54.

    J. Grondin, L’universalité de l’herméneutique, p. 34 et pp. 37–38.

  55. 55.

    Il va de soi qu’il faudrait nuancer le rapport au λόγoς aristotélicien. Dans ce sens, voir les cours de 1921–1924 portant sur Aristote, puis J.-F. Courtine, La cause de la phénoménologie, pp. 147–267 ; F. Volpi, « La question du λόγoς dans l’articulation de la facticité chez le jeune Heidegger lecteur d’Aristote », in J.-F. Courtine (éd.), Heidegger 1919–1929, pp. 34–65 ; C. Weigelt, The Logic of Life. Heidegger’s Retrieval of Aristotle’s Concept of Logos, Stockholm, Almqvist & Wiksell, 2002.

  56. 56.

    Cf. E. Lask, Die Logik der Philosophie und die Kategorienlehre [1911], p. 195 ; cf. GA1, pp. 287–288. Pour un commentaire, cf. J.-F. Courtine, La cause de la phénoménologie, pp. 143–144.

  57. 57.

    E. Lask, Die Logik der Philosophie und die Kategorienlehre [1911], p. 133.

  58. 58.

    J.-F. Courtine, La cause de la phénoménologie, p. 141.

  59. 59.

    Ibid., p. 139.

  60. 60.

    A. Philonenko, L’École de Marburg. Cohen – Natorp – Cassirer, Paris, Vrin, 1989, pp. 106–107.

  61. 61.

    F. de Lara, Phänomenologie der Möglichkeit, p. 187–188 n.

  62. 62.

    Cf. B. Lazzari, Ontologie della fatticita. Prospettive sul giovane Heidegger, Milano, Angeli, p. 127.

  63. 63.

    G. Ruff, Am Urpsrung der Zeit, p. 90.

  64. 64.

    La problématique du temps chez Husserl est bien sûr plus complexe que cela ; mais c’est à cela que Heidegger la réduit dans le passage concerné. Une caricature, certes, mais une caricature qui ne ment pas vraiment.

  65. 65.

    S. J. McGrath, « Formal Indication, Irony, and the Risk of Saying Nothing », p. 179.

  66. 66.

    Ibid., p. 180.

  67. 67.

    T. Kisiel, Genesis, p. 171.

  68. 68.

    Ibid.

  69. 69.

    Ibid., p. 172.

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Camilleri, S. (2017). CHEMINEMENT VERS L’INDICATION FORMELLE. In: Heidegger et les grandes lignes dʼune phénoménologie herméneutique du christianisme primitif. Phaenomenologica, vol 221. Springer, Cham. https://doi.org/10.1007/978-3-319-45198-5_4

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