Preliminary study on the assessment of deadwood volume by the French national forest inventory

Abstract

• • As the French national forest inventory does not currently monitor the lying compartment of the forest deadwood, the figures obtained on this topic are therefore partial. This study provides cost estimates and guidelines for assessing stumps, and standing and lying deadwood.

• • Comparisons were made between a fixed-area sampling method and a line-intersect one. LIS was judged more time-efficient, especially in dense understorey. Computer simulations were performed in order to estimate the gain in precision with increasing transect lengths. The results showed a continuous improvement in precision associated with increases in transect length. The longest transect tested (50 m) still had a large coefficient of variation, suggesting that improvement in precision at the plot level could still be gained with longer transects.

• • Therefore, from a practical standpoint in terms of fieldwork, we suggest that on a national scale lying deadwood should be measured by line-intersect sampling, whereas stumps, standing dead trees and snags can be monitored using standard fixed-area plots. To meet needs at the national level, we consider that local imprecision could be compensated for by the large number of plots measured each year.

Résumé

• • L’inventaire forestier national français ne réalise pas l’inventaire du bois mort au sol, les résultats à ce sujet sont donc partiels. Cette étude donne des orientations en termes de coûts et de méthode pour l’échantillonnage des souches, arbres morts debout et le bois mort au sol.

• • Les méthodes d’inventaire par placette à surface fixe et échantillonnage linéaire ont été comparées. L’échantillonnage linéaire a été jugé plus rapide surtout lorsque le sous-bois est dense. Des simulations ont été réalisées pour estimer le gain de précision avec l’augmentation de la longueur de transect. Les résultats ont montré une amélioration continue de la précision associée à l’augmentation de la longueur de transect. Le transect le plus long testé (50 m) a toujours un coefficient de variation élevé; ce qui suggère que l’amélioration de la précision à l’échelle du point peu être obtenue avec un transect plus long.

• • Du point de vue pratique au niveau du travail de terrain, nous suggérons qu’à l’échelle nationale le bois mort au sol soit mesuré par transect alors que les souches, arbres morts debout et chandelles soit mesurées avec la méthode standard des placettes fixes. Afin de satisfaire aux besoins de l’échelle nationale, nous avons considéré que l’imprécision locale peut être compensée par le nombre important de points mesurés chaque année.