Fortschritt und Verbrechen im Roman des 19. Jahrhunderts

Abstract

Dans l"étude suivante deux romans du XIX^e siècle jugés importants et typiques par leurs sujets comme par leurs formes sont décrits dans l"intention de présenter leur richesse comme celle de leur réception dans le contexte du siècle en indiquant que les idées restent actuelles qu"ils discutent. La distance historique peut faire mieux comprendre les contextes et les problèmes. L"intention est de démontrer cela en démontrant que la poésie a ses propres qualités en se servant de motifs et d"images dans son domaine en face d"un monde de concepts et d"idées philosophiques, sociologiques, psychologiques et historiques qui se qualifie comme différent du monde poétique étant plus définitif et donc en même temps plus étroit. Le cosmos polyvalent des belles-lettres doit trouver une présentation dans un style épique et associatif comme il a été préféré dans le roman moderne. Ici, les deux romanciers sont vus dans une perspective historique et supra-nationale dans le contexte d"une histoire de la pensée européenne (-américaine) dans laquelle une sorte de révolution idéologique au milieu du XIX^e siècle a été constatée. Celle-ci change le paradigme du « naturel » rousseauiste - fondement mental du romantisme - contre celui d"« objectivité des vérités sociales » - qui crée le réalisme bourgeois. Les auteurs créent leurs romans et les solutions des problèmes du temps quant à la forme dans le cadre de la poésie mais ils se placent aussi dans le cadre de la pensée de leurs époques respectives. Ce qui peut arriver par des actions criminelles qui sont leurs sujets, cela est décrit dans des contes individualisés mais également partant des idées de l"époque et du contexte général de la civilisation. Dans celui-ci le crime sera puni, l"assassinat impardonnable, la révolte violente et brutale néfaste pour le bonheur du révolté quoique les perspectives et les réponses qu"elles suggèrent soient différentes et pluralistes chez les deux auteurs. Le progrès comme une grande perspective de tout le siècle restera important dans les deux romans qui montrent une différence marquée entre le profit que la société peut tirer des criminels pénitents et leurs succès et bonheur individuels devenus impossibles. Balzac et Fontane se présentent grands dans leurs romans poétiques et substantiels, mais trop peu goþtés et certainement souvent sous-estimés jusqu"ici. Leurs œuvres discutent les problèmes comme ils voient les gens de leurs époques dans la pluralité qui convient au roman, mais il ne ferment pas les yeux devant les problèmes qui sont ceux du mal, du crime et, on peut le dire, du terrorisme - quoique toute description et énumération ne puisse rendre les contenus complexes des deux romans comme œuvres d"art dont l"étude essaiera pourtant de donner ses résultats à sa fin.