Screening of African Rice, Oryza glaberrima Steud, for Resistance to the African Rice Gall Midge Orseolia oryzivora Harris and Gagné

Abstract

Two hundred seventy-three lines of the cultivated African rice species Oryza glaberrima Steud were screened in a paddy screenhouse at the National Cereals Research Institute, near Bida, Niger State, Nigeria for resistance to the African rice gall midge, Orseolia oryzivora Harris and Gagné, an increasingly important pest of lowland rice in Nigeria. Twenty entries which showed no galls in the screenhouse evaluation were retested under natural infestation in a gall midge-endemic field location near Abakaliki, Ebonyi State. Whereas the susceptible check variety, FARO 37, had 39.6 % of tillers infested 60 days after transplanting, damage in the test entries ranged from 0 to 3.7 %, an indication that they were all highly to moderately resistant to the pest. Greater host plant resistance is a central requirement for more effective management of O. oryzivora. Using resistance genes from O. glaberrima is a promising approach to achieving this.

Résumé

A l’Institut National de Recherche sur les Céréales de Bida (Niger State) au Nigéria, 263 lignées d’une espèce de riz africain cultivé Oryza glaberrima Steud, ont été évaluées en serre pour leur résistance à l’attaque par le moucheron à galle, Oryseolia oryzivora Harris and Gagné, u,n ravageur de plus en plus important dans les rizières de basses altitudes du Nigéria. Vingt entrées n’ayant pas montré de trace de galle en serre ont été ensuite testées sous des conditions d’infestations naturelles, dans un champs près d’Abakaliki (Ebonyi State), où la galle est reconnue endémique. Au moment où la variété (FARO 37) sensible de référence, avait 39,6% de talles infestées 60 jours après transplantation du riz, le taux d’attaque chez les entrées testées se rangeait entre 0 et 3,7%; ce qui était une indication sur la présence des entrées allant de hautement à moyennement résistantes au ravageur. Une très haute résistance de la plante constitue un préalable important pour une meilleure gestion de O. oryzivora. L’utilisation des gènes de résistance de O. glaberrima constituerait une approche prometteuse pour arriver à ce résultat.