The Math Ed Majors: Golf Edition (Part I)

Abstract

The purpose of this article is to identify, from the plethora of journals dedicated to publishing research in the field of mathematics education, in general, and from mathematics education’s ‘Group of Seven’, in particular, what I call the Math Ed Majors. In order to do so, I look to men’s professional golf, and men’s major golf championships. Worthy of note, there are only four majors in men’s professional golf. As such, I pronounce only four journals as math ed majors. Recognizing that I may ruffle some feathers, I take into consideration, as has been done in men’s golf, scenarios where there are only three or perhaps five majors. Also taking into consideration that I am constantly on the lookout for and have a vested interest in Canadian mathematics education matters, because if Canadian mathematics education matters then Canadian mathematics education matters, I provide an honourable mention by drawing parallels between a prominent journal and the Canadian Open. After a bit of translation, necessary for a brief aside where I speak Canadian, I allude to Part II of this manuscript, proclaiming the Math Ed Majors with the explicit purpose of introducing brand-new, unconventional, professional golf–based author productivity indexes.

Résumé

Dans cet article, mon objectif consiste à identifier, parmi la pléthore de revues consacrées à la publication de travaux de recherche dans le domaine de l’enseignement des mathématiques en général, et dans le « groupe des sept» de l’enseignement des mathématiques en particulier, ce que j’appelle les « [revues] majeures de l’enseignement des mathématiques». Pour ce faire, je me tourne vers le golf professionnel masculin et les omniums les plus importants du golf masculin. Il convient de noter qu’il n’y a que quatre tournois majeurs dans le golf professionnel masculin. C’est dans cette foulée que je choisis de ne qualifier « de majeures» que quatre revues du domaine de l’enseignement des mathématiques. Conscient que je risque de froisser certaines personnes, je tiens compte, comme cela a été fait dans le golf masculin, des scénarios dans lesquels il n’y aurait que trois ou peut-être cinq [revues] majeures. Prenant également en compte le fait que je sois constamment à l’affût des sujets qui touchent à l’enseignement des mathématiques au Canada et que je m’intéresse de près à ceux-ci, puisque si l’enseignement des mathématiques au Canada est important, alors c’est important, j’accorde une mention honorable en établissant un parallèle entre une revue de premier plan et l’Omnium canadien. Après un peu de traduction, nécessaire le temps d’un bref aparté durant lequel je parle « canadien», je fais allusion à la deuxième partie de ce manuscrit, parce que je proclame que j’ai établi quelles sont les revues les plus importantes (les « majeures») de l’enseignement des mathématiques dans le but explicite de présenter de tout nouveaux indices de productivité des auteurs, non conventionnels et fondés sur le golf professionnel.