Chère consœur, cher confrère,

Une fois de plus, une année tire à sa fin. Le KaDeWe de Berlin, où je suis allée faire un tour pendant le congrès de la DGGG, était déjà paré de décorations de Noël scintillantes.

Peut-être avez-vous déjà prévu une soirée de lecture confortable au coin de la cheminée? La Revue d’Endocrinologie Gynécologique est le choix idéal pour cela.

Ce qui vous attend:

Un mix de thèmes comprenant l’endocrinologie de la jeunesse et du grand âge et le traitement de procréation médicalement assistée.

M. Birkhäuser se penche dans son article sur la gestion du retard pubertaire, un thème qui relève en partie également de l’endocrinologie pédiatrique et peut ainsi causer souvent des incertitudes.

Déjà dans le dernier numéro, nous avions pu lire du nouveau sur l’hormone de croissance dans le contexte de l’anti-vieillissement. Dans la deuxième partie, M. Klentze explique son influence sur le système cardio-vasculaire.

Last but not least – la signification de l’épaisseur de l’endomètre évaluée par échographie dans la procréation médicalement assistée. Existe-t-il une valeur seuil inférieure au-dessous de laquelle le cycle de traitement doit être arrêté? Avec quelle épaisseur échographique de l’endomètre a‑t-on les taux les plus élevés de grossesses et de naissances?

J’espère que vous y trouverez de quoi vous intéresser et vous instruire!

Je vous souhaite une heureuse, paisible et reposante période de l’Avent.

Bien à vous, Petra Stute

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