En ajoutant au regard du clinicien celui du phénoménologue, nous évoquons le dualisme corps/esprit et la notion selon laquelle la douleur est toujours vivante, vive, radicalement subjective. Nous abordons la difficulté de différencier la souffrance de la douleur. Pour évaluer la douleur, nous revenons sur les notions d’évaluation et de communicabilité de l’expérience douloureuse. Nous recommandons l’écoute du patient mettant en récit son expérience et son observation par l’hétéroévaluation.