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Une bibliographie complète des travaux sur condorcet est proposée par CatherineKintzler,Condorcet, l’instruction publique et la naissance du citoyen, Paris, Le Sycomore, 1984, p. 288–292.
La société d’Auteuil, ses activistes et leurs préoccupations à la fois philosophique et institutionnelle, sont étudiés par SergioMoravia,Il tramonto dell’illuminismo, Bari, Ed. Laterza, 1968.
FranckAlenory,Condorcet, guide de la Révolution française, théoricien de droit constitutionnel, et précurseur de la science sociale, Paris, Brière, 1904, et LéonCahen,Condorcet et la Révolution française, Paris, Alcan, 1904.
CharlesHenry a publié notamment laCorrespondance inédite de Condorcet et de Turgot (1770–1779), Paris, Charavay, 1883.
KarlPearson a rendu compte avec plus d’indulgence, mais peut-être aussi plus de légèreté, des travaux probabilistes de Condorcet, dansThe History of Statistics in the 17th and 18th Centuries, against the Changing Background of Intellectual, Scientific and Religious Thought, Londres, Griffin, 1978, p. 423–505 (cours donnés au University College de Londres en 1921–1933, publiés par E. S.Pearson).
GillesGranger,La Mathématique sociale du marquis de Condorcet, Paris, P.U.F., 1956.
RoshdiRashed,éd.,Condorcet. Mathématique et société, Paris, Hermann, 1974.
J. SalwynSchapiro,Condorcet and the Rise of Liberalism, New York, Harcourt, Brace & Co, 1934.
C. Kintzler,op. cit. supra n. 2.
Keith M.Baker,Condorcet. From Natural Philosophy to Social Mathematics, Chicago, University of Chicago Press, 1975.
J. S. Schapiro,op. cit. supra n. 9,foreword, j’ai traduit ce passage.
G. Granger,op. cit. supra n. 7, p. v-ii.
K. M. Baker,op. cit. supra n. 12, p. viii.
Id., ed.,Dictionary of Scientific Biography, New York, Scribner, 1970, 15 vols.
Comme l’atteste JeanEgret,La Pré-Révolution française (1787–1788), Paris, P.U.F., 1962, p. 326–331 et p. 367.
Id.,Architecture gothique et pensée scolastique, Paris, Minuit, 1967.
JackGoody,La Raison graphique, la domestication de la pensée sauvage, Paris, Minuit, 1979 (trad. fr.).
K. M. Baker, dans « Scientism at the End of the Old Regime: Reflections on a Theme of Professor Charles Gillispie »,Minerva, XXV,1–2, spring-summer 1987, critique Gillispie en soulignant que l’entente entre Condorcet et Turgot dépasse l’économie des échanges entre science et administration ; ce n’est pas faux. Pourtant, une fois précisé que le ministre et le secrétaire de l’Académie des sciences forment une configuration extrême de ces échanges, il ne nous semble pas que leur exemple infirme Gillispie : partant desespaces sociaux engagés dans un tel processus (donc des positions structurales de Condorcet et Turgot), on dépasse cette objection.
Notamment dans PierreBourdieu, « Le mort saisit le vif »,Actes de la recherche en sciences sociales, 32/33, avril–juin 1980, p. 3–14.
Voir l’article « Buffon » de JacquesRoger,op. cil. supra n. 17, vol. II, p. 577.
L’affaire est détaillée parK. M. Baker,op. cit. supra n. 12, p. 35–47.
K. M. Baker,op. cit. supra n. 12, p. 2–35.
Manuscrit décrit parK. M. Baker,op. cit. supra n. 12, p. 3;
R. Rashed,op. cit. supra n. 8, p. 58–64.
K. M. Baker,op. cit. supra n. 12, p. 6.
Voir dansC. C. Gillispie, ed.,op. cit. supra n. 17, les notices correspondantes. Condorcet conseillera de la même manière Monge au cours des années 1770,ibid.
Les circonstances de cette publication sont relatées parK. M. Baker,op. cit. supra n. 12, p. 36–39.
G. Granger,op. cit. supra n. 7, p. 61.
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Brian, É. La foi du géomètre métier et vocation de savant pour Condorcet vers 1770. Rev synth 109, 39–68 (1988). https://doi.org/10.1007/BF03189185
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DOI: https://doi.org/10.1007/BF03189185