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Bibliographie
Registres du consistoire de Genève au temps de Calvin,. Éd. Thomas A.Lambert, Isabella M.Watt, dir. RobertM. Kingdon, collab. JeffreyR. Watt. Genève, Droz, 1996. p. 264–265.
Théodore deBèze,Discours de Théodore de Bèze contenant en bref l’histoire de la vie et mort de maître Jean Calvin avec le Testament et dernière volonté du dit Calvin, Paris, Armand Colin, 1962, p. 116.
Cité par GabrielAudisio,Les Vaudois du Luberon. Une minorité en Provence (1460–1560), Association d’Études vaudoises et historiques du Luberon, 1984, p. 275.
CarloGinzburg,Il Nicodemismo. Simulazione e dissimulazione religiose nell’Europa del’ 500, Turin, Einaudi, 1970.
Cette thèse est analysée, avec précision, pour le cas français, par ThierryWanegffelen,Ni Rome ni Genève. Des fidèles entre deux chaires en France au xvi e siècle, Paris, Honoré Champion, 1997.
Commentaire sur l’espistre aux Romains, s.I., 1561, p. 23–24. C’est précisément l’étude de l’épître de Paul aux Romains qui a convaincu les réformateurs de l’inutilité des œuvres («Nous concluons donc que l’homme est justifié par la Foy sans les œuvres de la Loy», Romains, III, 27): en conséquence, «si quelqu’un veut chercher repos de conscience par les œuvres (ce qu’on voit es gens profanes et brutaux), il perdra son temps»,ibid.,Commentaire sur l’espistre aux Romains, s.I., 1561, p. 33; «il n’y a rien de notre mérite, tout procède de la pure libéralité de Dieu»,ibid.,Commentaire sur l’espistre aux Romains, s.I., 1561, p. 37.
Cette expression apparaît lors d’une affaire jugée le 13 mars 1544.
Commentaire de Jean Calvin sur l’espistre aux Romains, s.l., 1561, p. 13.
Ibid., Commentaire de Jean Calvin sur l’espistre aux Romains, s.l., 1561, p. 34 et p. 35: «C’est cela le péché originel.
Ibid., Commentaire de Jean Calvin sur l’espistre aux Romains, s.l., 1561, p. 33.
Matériaux pour servir à l’histoire du blasphème (1450–1550)»,Bulletin d’information de la mission historique française en Allemagne, 29, déc. 1994, p. 56–67;32, juin 1996, p. 67–85.
Institution de la religion chrestienne, op. cit. supra n. 6,en laquelle est comprise une somme de piété et casi tout ce qui est nécessaire à congnoistre en la doctrine de salut, composé en latin par Jean Calvin et translatée en françois par luy-mesme. Avec la préface addressée au Très chrestien Roy de France François premier de ce nom, par laquelle le présent livre luy est offier pour confession de foy, Genève, 1541, chap.iv, 17.
DenisCrouzet,La Genèse de la Réforme française, Paris, Sedes, 1996, p. 277.
Dans sonCommentaire sur l’espistre aux Romains, op. cit. supra n. 19, s.l., 1561, p. 18,Calvin dit encore qu’il faut se glorifier «que l’idolâtrie externe est ostée au milieu de nous, que cependant nous n’avisions soigneusement d’exterminer et d’arracher l’impiété cachée au dedans des cœurs».
NorbertElias,La Civilisation des mœurs, Paris, Calmann-Lévy, 1973.
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À propos desRegistres du consistoire de Genève au temps de Calvin. 1:1542–1544. Éd. ThomasA. Lambert, IsabellaM. Watt, dir. RobertM. Kingdon, collab. JeffreyR. Watt. Genève, Droz, 1996. 16×24,xl-444 p. (Travaux d’humanisme et Renaissance, 305).
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Cornette, J. Exclusivisme scripturaire et discipline des comportements le registre du consistoire de genève (1542–1544). Rev synth 119, 113–123 (1998). https://doi.org/10.1007/BF03181372
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DOI: https://doi.org/10.1007/BF03181372