Étude théorique et expérimentale du brouillage mutuel entre systèmes de radiocommunications

Sommaire

Dans l’avant-propos, l’auteur explique pourquoi il a entrepriscette étude, et dans l’introduction il rappelle comment se présente actuellement le problème du brouillage. Dansune première partie il traite (1) del’influence de la sélectivité d’un récepteur sur la protection contre un brouilleur à sauts d’amplitude —(1-1) et Annexe II: sélectivité dynamique d’une suite de transformateurs accordés — (1–2): conclusions. Dans ladeuxième partie il étudie (2) lespropriétés de la courbe de sélectivité dynamique d’un système de communications à sauts d’amplitude — (2-1): forme analytique de l’impédance de transfert des filtres — (2-2) Annexe 1: forme analytique de l’enveloppe de la réponse des filtres équivalent ausignal Γ(t)sin (ωt+ϕ), (2–3): relations existant entre la courbe de sélectivité statique du filtre et sa réponseau signal Γ(t)sin (ωt+ϕ), (2–4): calcul de la courbe de sélectivité dynamique du système de communications, (2–5): relations liant les pentes asymptotiques de la courbe de sélectivité dynamique à celles des courbes de sélectivitéstatique des filtres, (2–6): largeur de la courbe de sélectivité dynamique (2–7): système de communications radiotélé graphiques à encombrement minimum de fréquence. Latroisième partie est consacrée (3)à la vérification expérimentale des propriétés de la courbe de sélectivité dynamique d’un système de communication à sauts d’amplitude — (3-1): essais effectués — (3-2): influence de la sélectivité du récepteur, (3-3): influence de la sélectivité de l’émetteur (3–4): constante du degré de fidélité. Dans laquatrième partie il donne (4) lespropriétés de la courbe de sélectivité dynamique d’un système de radiocommunications à modulation d’amplitude de phase ou de fréquence — (4-1): hypothèses, (4-2): variation de l’éner gie parasite captée par le récepteur, (4-3): relation entre l’amplitude maximum et l’énergie du signal fourni par le filtre équivalentau récepteur, (4-4): propriété de la courbe de sélectivité dynamique d’un système de radiocommunications, (4–5): utilisation du niveau d’énergie parasite pour repérer la gêne causée par un brouillage radioélectrique. L’ensemble de cette étude lui permet de donner laconclusion suivante: il est possible de réaliser un système de radiocommunications dont l’encombrement en fréquence est aussi faible que celui d’un système qui ne ferait intervenir que des phénomènes statiques.