Sommaire
L’auteur expose tout d’abord dans l’introduction les diverses raisons qui l’ont amené à considérer deux oscillateurs à ondes centimétriques stabilisés comme des chronomètres de haute précision et à mesurer leurs fluctuations relatives de fréquence. Pour cela, il étudie (I) les fluctuations propres des oscillateurs: justifie (I.1) le choix des klystrons reflex, examine (I.2) les fluctuations de leur fréquence, rappelle (I.3) les causes de ces fluctuations et les moyens de les réduire, ce qui l’amène à faire (I.4) l’étude d’alimentations secteur hautement stabilisées. Il passe (II) à la stabilisation de la fréquence de battemenis de deux klystrons, pose (II.1) le principe de cette stabilisation, décrit (II.2) le montage utilisé, explique (II.3) le fonctionnement du dispositif stabilisateur, introduit (II.4) des filtres à 0,5 Hz pour stabiliser, mesure (II.5) les fluctuations de la fréquence de battements, expose (II.6) le dispositif de filtrage du signal, recherche (II.7) le signal minimum perceptible et fait (II.8) le bilan des premiers résultats obtenus. Ensuite il s’intéresse (III) à la stabilisation des klystrons par transmission dans un guide d’ondes, donne (III.1) le principe du procédé, rappelle (III.2) les limitations de la stabilité, décrit (III.3) l’appareillage, précise (III.4) les résultats obtenus et examine (III.5) les battements de deux klystrons stabilisés. Pour terminer il traite (IV) la stabilisation par transmission dans une cavité, expose (IV.1) le principe de la méthode, décrit (IV.2) le principe du montage hyperfréquence, étudie (IV.3) les fluctuations de la fréquence de battements, recherche (IV.4) le signal minimum perceptible. Il conclut (V) en comparant les résultats obtenus avec ceux publiés antérieurement, et donne quelques possibilités d’applications nouvelles.
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Thèse soutenue le 16 novembre 1954 devant la Faculté des Sciences de Paris.
Au C. N. E. T., chef du Centre expérimental de propagation troposphérique.
(à suivre)
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Jampierre, L. Étude des fluctuations relatives de fréquence de deux klystrons reflex stabilisés par divers procédés. Ann. Télécommun. 10, 65–78 (1955). https://doi.org/10.1007/BF03019262
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DOI: https://doi.org/10.1007/BF03019262