Sommaire
Lapremière partie est consacrée à lacaractérisation arithmétique des messages par des nombres. Dans lesgénéralités, les auteurs rappellent (I) le sens qu’ils donnent au mot signal et exposent le principe de la caractérisation d’un message par un nombre appelé son nombre-indice. Ils étudient (II) lenombre-indice en télégraphie àdeux positions, et pour cela donnent: (1) dans ce cas particulier la définition et le calcul du nombreindice, (2) quelques propriétés du nombre-indice d’une phrase de modulation limitée, (3) quelques propriétés du nombre-indice d’une phrase de modulation infinie, (4) la représentation mathématique d’une phrase de modulation. Ilsgénéralisent (III)au cas de plus de deux positions, et précisent (IV) celui où l’on doit tenir comptedes signaux futurs. Ladeuxième partie est uneapplication du résultat précédent àla détermination des réseaux correcteurs. Ils tracent d’abord (I)les courbes etles surfaces de distorsion indicielle dont ils donnent: (1) la définition, (2) les propriét’’es, (3) des exemples, et traitent (4) le cas où l’on doit tenir compte des signaux futurs par rapport à l’instant-origine. Ils indiquent (II) comment la connaissance de ces courbes et surfaces de distorsion indicielle permet ladétermination deréseaux correcteurs.
Additional information
La présente étude fit l’objet d’une communication, par les auteurs au Polytechnic Institute of Brooklyn, à New-York, en 1954.
A l’Inspection Générale.
A laDirection Générale des Télécommunications. Section techniqueTélégraphe.
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Bayard, M., Roquet, R. La caractérisation arithmétique des messages et son utilisation pour déterminer les réseaux correcteurs. A. Téléc. 11, 33–45 (1956). https://doi.org/10.1007/BF03016364
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DOI: https://doi.org/10.1007/BF03016364