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Sophie de kowalevski

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Rendiconti del Circolo Matematico di Palermo (1884-1940)

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Literatur

  1. Non pas le Grand Prix des Sciences Mathématiques, comme il a été imprimé, par erreur, dans lesComptes Rendus, tome CVII (deuxième semestre 1888), p. 1036.

Literatur

  1. Comptes Rendus, t. CVII, p. 1942. - Sur ce Mémoirevoir aussi: Picard, «Revue annuelle ďAnalyse « (Revue générale des sciences pures et appliquées, 1ère année, n° 22, 30 novembre 1890, et cesRendiconti, t. V, 1891, p. 80-90), § II.

Literatur

  1. Emilie Le Tonnelier de Breteuil, marquise du Chatelet, née à Paris en 1706, morte en la dite ville en 1749. Elle fut liée avec les hommes les plus distingués de son temps, principalement avec Clairaut, quiľeut pour disciple, avec Saint-Lambert et avec Vollaire qui ľappelle dans ses vers ladocle Uranie. On lui doit desInstitutions de physique, avec uneAnalyse de la philosophie de Leibnitz (1740), une traduction desPrincipes de Newton, publiée par Clairaut (1756), avec son éloge par Voltaire.

  2. Maria Gaetana Agnesi, née à Milan le 16 mars 1718, morte en la dite ville le 9 janvier 1799. Son père, professeur de mathématiques à Milan, ľinitia de bonne heure à ľétude des sciences exactes. Elle y réussit si bien qu’en 1750 le pape Benoît XIV ľautorisa à remplacer son père dans son cours public. Elle a publié en latin desInstitutions analytiques, qui ont été traduites en français par ďAnthelmy, sous les yeux de Bossut, et imprimées, avec des notes de ce dernier sous ce titre:Traités élémentaires du calcul différentiel et du calcul intégral (1775).

  3. Marie-Sophie Germain, née à Paris le 1er avril 1776, morte en la dite ville le 27 juin 1831. Elle avait développé ses heureuses dispositions pour les mathématiques par ľétude dès ouvrages de Lagrange, de Legendre, de Gauss, de Fourier, et dans ses entretiens avec ces grands géomètres. Bien qu’elle ne connut pas personnellement Gauss, elle correspond it avec lui, sous le pseudonyme de L e Blanc, ancien élève de ľÉcole Polytechnique. Dans la séance du 8 janvier 1816, ľAcadémie des Sciences de Paris lui décerne un grand prix sur une des questions de physique mathématique les plus nouvelles et les plus ardues: la théorie des surfaces élastiques (Commissaires: Poisson, Laplace, Legendre, Poinsot, Biot). Mlle Sophie Germain fut plus profondément mathématicienne que la marquise du Châtelet et que Mlle Agnesi, et elle avait ľesprit philosophique de cette dernière. (Voir: Chasles,Rapport sur les progrès de la Géométrie, Paris, 1870).

Literatur

  1. Journal für die reine und angewandle Mathematik, Bd. CVIII, Heft I (18 März 1891).

Literatur

  1. Depuis la fondation de ľUniversité de Gœttingue (Georgia Augusta), par le roi George II de Hanovre en 1737, ce titre n’a été conféré qu’à deux femmes, dont la première fut la fille de ľhistorien Schloezer, la savante Dorothée Schloezer, et la seconde est Sophie de Kowalevski.

Literatur

  1. Les pages 254-279 de ce travail contiennent un mémoire inédit de Mr. Weierstrass « Eine Integrationsmethode für lineare partielle Differentialgleichungen ». - Les résultats contenus dans le mémoire V ont été signalés préalablement dans les notes III et IV. (Voir: Eneström,Table des mat ères des tomes I-X des Acta Mathematica).

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De Kerbedz, E. Sophie de kowalevski. Rend. Circ. Matem 5, 121–128 (1891). https://doi.org/10.1007/BF03015688

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