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Après acoir rappelé qu’au début du 20e siècle, lorsque les physiciens dirigèrent leurs recherches vers la structure intime de la matière, leurs connaissances en physique, en mécanique et en électromagnétisme semblaient leur permettre tous les espoirs, ľauteur évoque les difficultés qui surgirent lorsqu’il s’agit ďétablir un modèle ďatome. Il fallut faire intervenir la théorie des quanta, et la nécessité ďune synthèse amena ’alors ľauteur à édifier sa théorie de la mécanique ondulatoire. Après avoir exposé les principes de cette théorie, il montre son application à la théorie de la lumière et à ľétude du mouvement des électrons.
Une preuve expérimentale des principes de la mécanique ondulatoire est donnée par la diffraction des électrons par les cristaux; ľauteur rappelle à ce propos les travaux sur la diffraction des rayons X et les expériences analogues faites avec les électrons; il dit ensuite quelques mots des écarts de la théorie et de ľexpérience et de leur explication. Parmi les applications de la mécanique ondulatoire, il s’arrête sur ľoptique électronique et rappelle les progrès que ľon fit depuis le 17e siècle dans la vision des très petits objets. Enfin il signale ľétude du mouvement ďun ensemble de corpuscules, ľexplication du spectre de ľatome ďhélium, ľexplication de la notion de valence et termine par ľapplication à la chimie et à ľétude des noyaux.
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Cet exposé a fait ľobjet ďuneConférence de ľÉcole Nationale Supérieure des Télécommunications, organisée le 9 décembre 1948 au Ministère des P. T. T.
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de Broglie, L. La mécanique ondulatoire et ľétude des très petites structures. Ann. Télécommun. 50, 49–60 (1995). https://doi.org/10.1007/BF03000769
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DOI: https://doi.org/10.1007/BF03000769