Die Schule, der Schularzt und das fremdsprachige Kind

Zusammenfassung

Der Verfasser ist praktischer Arzt und Schularzt in einer industriereichen Gemeinde am Bodensee, in der schon vor dem Ersten Weltkrieg und dann besonders wieder seit dem Ende des Zweiten zahlreiche Ausländer, ganz besonders Italiener, Arbeit gefunden haben. Ausgehend von der Eigenart der italienischen Familie und des italienischen Kleinkindes, beschreibt er seine Beobachtungen an italienischen Kindern in deutschsprachigen Schulen. Aus der Notwendigkeit, gleichzeitig zwei Sprachen erlernen zu müssen, ergeben sich gewisse Schwierigkeiten. Wege zur Überwindung derselben werden aufgezeigt, geeignete Lehrmittel genannt. Der Schulerfolg dieser anfangs fremdsprachigen Kinder weist keinen wesentlichen Unterschied auf gegenüber den einheimischen Kindern. Ihre beruflichen Aussichten sind gut. Die ForderungenSullos nach Schulen in italienischer Sprache erscheinen deshalb unbegründet und sind nicht im Interesse der italienischen Kinder. Allerdings sollen diese nach Möglichkeit auch in ihrer Muttersprache gefördert werden. Die Arbeit richtet sich vor allem an Lehrer, Schulbehörden und Schulärzte.

Résumé

L'auteur est médecin de médecine générale et médecin d'école dans une commune très industrialisée au bord du lac de Constance dans laquelle, déjà avant la première guerre mondiale et surtout depuis la deuxième, beaucoup d'étrangers, en grande majorité italiens, ont trouvé du travail.

Il nous fait part de ses observations sur les enfants italiens dans les écoles de langue allemande, tenant compte du genre propre à la famille italienne et aux petits enfants italiens.

Il est clair que l'obligation d'apprendre deux langues à la fois provoque quelques difficultés. Les possibilités de vaincre celles-ci sont démontrées et les moyens d'instruction appropriés sont mentionnés. Les résultats scolaires de ces enfants au préalable de langue étrangère ne montrent guère de différence comparativement à ceux des enfants de la région. Leurs perspectives professionnelles sont bonnes. Les suggestions de MonsieurSullo de mettre ces enfants dans des écoles de langue italienne ne nous paraît pas judicieux ni dans leur intérêt.

Il est désirable par contre que ces enfants gardent le contact avec leur langue maternelle en dehors de l'école.

Cet exposé s'adresse surtout aux instituteurs, aux instances scolaires et aux médecins scolaires.