Literatur
Voir les Comptes-Rendus de l'Académie des Sciences (31 mai 1898), et les Acta mathematica (t. 23, p. 215 et suiv.).
Comptes-Rendus du 22 janvier 1900.
Dans la communication que j'ai faite à ce sujet à l'Académie des Sciences, j'avais employé, pour désigner les formes en question, le motisonome, auquel j'ai cru devoir renoncer pour adopter le motmonoïque.
Voir le no 10 du présent Mémoire.
Cette condition se trouve remplie d'elle même dans un système limité.
La substitution des expressionsconséquence numérique, équivalence numérique, etc., aux expressions généralement usitées,conséquence algébrique, équivalence algébrique, etc., me semble présenter, entre autres avantages, celui d'éviter toute équivoque sur la signification du motalgèbre.
Il va sans dire que ce système équivalent est supposé ne fournir, pour chacune des quantités principales, qu'un nombre limité de semblables expressions.
Voir les Comptes-Rendus de l'Académie des Sciences (31 mai 1898), et les Acta mathematica (t. 23, p. 215 et suiv.).
Pour les propriétés des systèmesorthoïques etorthonomes, voir le Mémoire in titulé:Sur une question fondamentale du Calcul intégral (Acta mathematica, t. 23).
Voir le Mémoire cité plus haut.
Sur une question fondamental du Calcul intégral.
IbidSur une question fondamental du Calcul intégral.
La réciproque, qui nous est pour le moment inutile, sera démontrée plus loin.
Sur une question fondamentale du Calcul intégral, no 6.
Ibid.Sur une question fondamentale du Calcul intégral, no 6.
Voir à ce sujet les Annales de l'Ecole Normale, juin 1893, p. 171 et suivantes; ou les Acta mathematica, t. 23, p. 289 et suivantes.
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Riquier, C. Sur le degré de généralité d'un système différentiel quelconque. Acta Math. 25, 297–357 (1902). https://doi.org/10.1007/BF02419029
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DOI: https://doi.org/10.1007/BF02419029