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Corticum solani as the cause of pit-rot

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Summary

Small, often circular, lesions on potato tubers were found to have been caused byCorticium solani (Prill & Delacr.) Bourd & Galz. In the literature similar symptoms are described as pit-rot.

Zusammenfassung

Zwischen den in Räumen und Mieten gelagerten Kartoffeln wurden Knollen mit durchCorticium solani (Prill & Delacr.) Bourd & Galz. verursachten kreisförmigen, dunklen Läsionen beobachtet. Das Krankheitsbild war für die Mietenfäule (pit-rot) bezeichnend, einer Krankheit, welche vonPethybridge (1919) beschrieben war. Es gelang jedochPethybridge in seinen Infektionsversuchen mitCorticium solani nicht solche, für “pit-rot” charakteristische, kreisförmige Flecke hervorzurufen. Seiner Meinung nach ist die Krankheit wahrscheinlich durch ein Gas oder durch mehrere schädliche Gase (oder Flüssigkeiten) verursacht. Bekanntlich können an Kartoffelknollen dem “pit-rot” ähnliche Flecke entstehen, wenn diese Formalin- oder Ammoniakdämpfen ausgesetzt werden.

In den vom Verfasser untersuchten Kartoffeln begann der Befall mitCorticium solani mit einer kleinen Öffnung am Periderm. Diese Öffnung bildete den Mittelpunkt von den dunklen kreisförmigen Läsionen von abgestorbenem Gewebe. Die Läsionen ohne sekundärer Jnfektion variierten in ihrem Durchmesser zwischen kaum sichtbar bis 20–30 mm und in ihrer Tiefe von einigen Zellen bis 5 mm. Bei der Lagerung der befallenen Knollen bei niedriger Feuchte wurden die Läsionen mehr oder weniger eingesunken. In sämtlichen Läsionen, welche nicht eingesunken oder sekundärem Befall ausgesetzt waren, konnte man Hyphen vonCorticium solani im kranken Gewebe finden. In schwach eingesunkenen Läsionen war es oft schwer und in tief eingesunkenen unmöglich Hyphen zu beobachten.

Der Krankheitserreger wurde aus den befallenen kreisförmigen Läsionen durch die sterile Entfernung des kranken Gewebes und dessen Auftragen auf Kartoffel-Dextrose-Agar isoliert. Es war immer möglich den pathogenen Pilz aus sehr schwach oder überhaupt nicht eingesunkenen Läsionen zu isolieren, wenn diese überdies keine Bakterien enthielten. Bei stark eingesunkenen alten Läsionen ist dies jedoch nur selten gelungen. Das Wachstum des Pilzes am Kartoffelgewebe wurde auf Kartoffelscheiben durch die Übertragung des Myzels vonCorticium solani vom Agar auf die Scheiben und auf ganzen Kartoffelknollen durch das Auftragen des Agars mit dem Myzel oder der Sklerotien auf oder neben kleine künstliche Verletzungen von ung. 1 mm Breite und 1 mm Tiefe untersucht. Nach der Impfung wurden die Scheiben in hoher Feuchte bei Temperaturen von 6°C und 12°C gelagert. Die verletzten Kartoffeln wurden ebenfalls in hoher Feuchte, jedoch bei Temperaturen von ungefähr 4°C und ung. 12°C, auch bei einer Anfangstemperatur von 8°C, die später auf ung. 12°C erhöht wurde, gelageit. Bei ungefähr der Hälfte der Kartoffelscheiben ist der Pilz ziemlich rasch in das Gewebe eingedrungen, in einigen Scheiben hat die Verkorkung das Eindringen des Pilzes in die oberen Zellschichten limitiert. Bei sämtlichen Kartoffeln, welche bei einer Anfangstemperatur von 8°C gelagert wurden, entwickelten sich aus den Verletzungen mit Sklerotien oder mit dem vom Agar stammenden Myzel kreisförmige Läsionen. In jenen Kartoffeln, die bei ungefähr 12°C gelagert wurden, zeigten sich im allgemeinen kleinere und weniger Läsionen. Nach der Lagerung bei 4°C schien das befallene Gewebe im Durchschnitt weicher zu sein, wie nach der Lagerung bei höheren Temperaturen. Einige Verletzungen wurden vor der Beendigung des Versuches durch Bakterien infiziert. Es war für die Verletzungen, welche stark durch Bakterien befallen waren, bezeichnend, dass das erkrankte Gewebe etwas weicher und nicht so scharf begrenzt war, wie bei den Verletzungen, welche ausschliesslich durchCorticium solani befallen waren.

Es wird der Schluss gezogen, dass die beobachteten kreisförmigen Läsionen durchCorticium solani verursacht waren und dass sich die Krankheit während der Lagerungszeit entwickelt und während dieser bekämpft werden muss.

Résumé

Des lésions circulaires foncées causées parCorticium solani (Prill & Delacr.) Bourd & Galz. ont été observées sur des tubercules conservés dans des locaux ou silos. Le tableau de la maladie rappelle fortement le “pit-rot”, maladie décrite parPethybridge en 1919. Dans des essais d'infection parCorticium solani,Pethybridge ne réussit pas à reproduire les taches circulaires si caractéristiques du pit-rot. A son avis, la maladie est probablement due à l'action d'un ou de plusieurs gaz (ou liquides) nocifs. On n'ignore pas que des lésions analogues à celles du pit-rot peuvent être occasionnées par l'exposition de tubercules de pomme de terre aux vapeurs de formol ou d'ammoniaque.

Dans les tubercules examinés par l'auteur, l'attaque deCorticium solani avait débuté par une petite ouverture de la peau. Ces ouvertures formaient les centres de lésions circulaires foncées composées de tissus détruits. Les lésions sans infections secondaires variaient d'une grandeur à peine visible à un diamètre de 20–30 mm et avaient une profondeur variant de quelques cellules jusqu'à 5 mm. Quand les tubercules atteints étaient conservés dans un milieu peu humide, les lésions s'approfondissaient rapidement dans une mesure plus ou moins importante. Dans toutes les lésions non approfondies ni exposées à des affections secondaires, des hyphes deCorticium solani étaient décelables dans les tissus malades. Dans les lésions légèrement creusées, les hyphes étaient parfois difficiles à observer, tandis que e'était impossible lorsque les lésions étaient profondes.

L'agent pathogène a été isolé des lésions circulaires par prélèvement stérile des tissus malades, que l'on a transférés sur un milieu gélosé au dextrose de pomme de terre. Il était toujours possible d'isoler le champignon pathogène à partir des lésions peu ou non approfondies et ne contenant pas de bactéries, mais ce fut rarement possible dans les lésions anciennes fortement creusées.

Le développement du champignon sur les tissus de la pomme de terre a été étudié sur des tranches de tubercule, en transférant le mycélium deCorticium solani de la gélose aux tranches, et sur les tubercules entiers en plaçant de la gélose avec mycélium ou des sclérotes deCorticium solani sur des blessures artificielles ou bien près d'elles. Ces blessures étaient laiges et profondes de 1 mm environ. Après l'inoculation, les tranches étaient conservées sous une forte humidité à 6 et à 12°C. Les tubercules inoculés étaient également conservés en milieu très humide, mais aux températures de 4, de 12°C ou de 8 au début puis de 12 environ. Dans la moitié des tranches de pomme de terre environ, le champignon pénétra assez rapidement dans les tissus. Dans certaines tranches, la subérisation limita l'attaque du champignon aux couches extérieures de cellules. Tous les tubercules qui avaient été conservés d'abord à 8°C environ présentèrent des lésions circulaires développées à partir des blessures infectées par les sclérotes ou la gélose au mycélium. Les lésions des tubercules conservés à 12°C furent généralement plus petites et moins nombreuses. Après conservation à 4, les tissus atteints semblaient être généralement plus mous qu'après conservation à des températures plus élevées.

Un petit nombre des blessures furent infectées par des bactéries avant la fin de l'essai. Fait caractéristique, le blessures le plus fortement atteintes de l'infection bactérienne présentaient un tissu malade un peu plus mou et moins nettement circonscrit que les lésions uniquement attaquées parCorticium solani.

L'auteur conclut que les lésions circulaires observées étaient dues àCorticium solani et que c'est pendant la période de conservation que la maladie se manifeste et doit être combattue.

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Henriksen, J.B. Corticum solani as the cause of pit-rot. Europ. Potato J. 4, 243–252 (1961). https://doi.org/10.1007/BF02366069

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