Beziehungen zwischen morphologischen Merkmalen, Photosyntheserate und Ertrag bei Kartoffelgenotypen unterschiedlicher Reifegruppen. 1. Staudenhöhe und Stengelmerkmale

Zusammenfassung

Untersuchungen an ausgewählten Sorten und Zuchtstämmen sowie an nicht auf Ertrag selektiertem Zuchtmaterial wiesen positive und signifikante Zusammenhänge zwischen Staudenhöhe und Ertrag aus. Häufig korrelierte die Staudenhöhe enger zum Stärke- als zum Knollenertrag. Zwischen Stengelzahl und Stärke- bzw. Knollen-ertrag bestand eine schwache, nichtlineare Abhängigkeit. Für das Merkmal Stengeldicke konnten in einigen Sortimenten ebenfalls positive Korrelationen zum Ertrag nachgewiesen werden. Höhe und Stengelzahl korrelierten signifikant zur Bodenbedeckung bei Knollenansatz. Da die Merkmale in unterschiedlichen Kombinationen vorliegen, lassen sich die Zusammenhänge durch lineare Regressionen nur unvollkommen beschreiben.

Summary

The relationship between genetically determined yield and morphological characters was studied over several years with selected cultivars and breeding lines, and in one-year experiments with breeding material selected with some regard to maturity class rather than yield. Correlations between crop height (length of the largest stems after full flowering) and yield were mostly positive and significant within the maturity classes of various collections. For early forms these correlations were close (high and significant correlation coefficients) (Table 2), just as with the later forms starch yield was correlated closely with tuber yield (Tables 1, 2). The one-year experiment carried out in 1984 with breeding material of different maturity groups gave within the groups a linear relationship between crop height (by class) and starch yield (mean of the class), and for tuber yield a curvilinear relationship (Fig. 1). The frequency of apparently high-yielding genotypes in early and second-early breeding material from 1977–81 was significantly greater in forms with tall canopies than in those with canopies of average height (Fig. 2). There was a weakly positive, non-linear relationship between stem number and starch or tuber yield, with low stem numbers (<5) restricting productivity (Table 3, Fig. 3). In some collections there were significantly positive correlations between stem thickness and yield (Table 3). Plant height and stem counts were positively correlated with percentage ground cover at the time of tuber initiation (Table 4). It appears therefore that morphological characters affect yield partly through the interception of light during early development. The effect of these factors on light distribution at canopy closure and during maturation are discussed. The complexity of the relationships between the various combinations of characters in the system does not permit a complete description by regression analysis.

Résumé

La relation entre l'effet génotypique et les caractères morphologiques sur le rendement a été étudiée pendant plusieurs années sur des variétés choisies, sur des clones, ainsi qu'une année sur des croisements non sélectionnés sur le rendement, tout en distinguant des groupes de précocité. Dans les différents assortiments on a trouvé, à l'intérieur d'un même groupe de maturité, des corrélations positives et significatives entre la hauteur des fanes (longueur de la plus haute tige après floraison) et le rendement. Pour les types précoces, les corrélations ont été plus élevées dans quelques assortiments (valeurs et significations des coefficients de corrélation) (tab. 2) que chez les types tardifs. Pour le rendement amidon, les corrélations étaient souvent meilleures que pour le rendement en tubercules (tab. 1, 2). Les examens effectués sur l'année 1984, avec du matériel de sélection de différents groupes de précocité ont montré une relation linéaire entre la hauteur des tiges (classes) et le rendement en amidon (valeurs moyennes des classes).

Pour le rendement en tubercules on a obtenu une relation curvilinéaire (fig. 1). Dans le matériel de sélection précoce et miprécoce des années 1977 à 1981, la fréquence des variétés à haut rendement a été significativement plus élevée chez les types à hautes tiges, comparativement aux types à tiges mihautes (fig. 2). Entre le nombre de tiges et le rendement en amidon ou tubercules, on obtient une relation faiblement positive, non linéaire; un nombre restreint de tiges (<5) semble limiter la production (tab. 3, fig. 3). Pour le caractère épaisseur des tiges, on a obtenu des corrélations positives significatives avec le rendement, dans quelques assortiments (tab. 3). La hauteur des plantes et le nombre de tiges ont donné une corrélation positive significative, avec le pourcentage de couverture du sol, au moment de la tubérisation (tab. 4).

Il en résulte que des caractères morphologiques influencent partiellement le rendement par l'interception du rayonnement pendant la phase juvénile de croissance. De plus, les influences de ces facteurs sur la répartition de la lumière dans la culture, lors d'une couverture totale du sol et pendant la senescence des plantes sont discutées. La complexité des relations et les modes de combinaisons des caractères chez les génotypes, ne peuvent être que partiellement expliqués par des analyses de regression.