Demonstration of a training response by the canadian home fitness test

Résumé

Cette étude avait pour but de comparer la sensibilité du nomogramme d'åstrand avec le Physitest Canadien selon la formule de Jetté et coll. pour prédire la consommation maximale d'oxygène par rapport à un programme d'entraÎnement physique. Trente-cinq hommes et femmes subirent la version avancée du Physitest en laboratoire et les deux prédictions furent comparées à la consommation maximale d'oxygène obtenue directement sur tapis roulant. Les valeurs pré-test ont démontré un écart de ±10.1% (hommes) et de ±1.4% (femmes) selon la procédure d'åstrand et de 5.6% (hommes) et de 2.2% (femmes) pour celle du Physitest. Suite à l'entraÎnement, l'analyse des données révéla que le Physitest permettait de faire une très bonne distinction entre les sujets expérimentaux et témoins. Par contre, les valeurs prédites selon le nomogramme d'åstrand démontrèrent une plus forte prédiction pour les sujets expérimentaux ainsi que des améliorations contrefaites pour les sujets témoins. Il en ressort que la formule du Physitest s'avéra plus sensible que le nomogramme d'åstrand pour déterminer l'influence d'un programme d'entraÎnement physique.

Summary

The relative merits of the åstrand nomogram and the CHFT formula for prediction of maximum oxygen intake$(\dot V_{O_{2 max} } )$ have been tested in 35 men and women during performance of the advanced version of the Canadian Home Fitness Test in a laboratory setting. Prior to training, systematic errors relative to direct treadmill measurements of maximum oxygen intake were åstrand −10.1% (male) and −1.4% (female), and CHFT 5.6% (male), and 2.2% (female), the error of the åstrand procedure being statistically significant for the men. Training was effected by a walk/jog prescription or rope-skipping and calisthenics.

Following training, data analysis indicated that the CHFT prediction formula distinguished quite well between the behaviour of experimental and control subjects. The åstrand procedure showed a greater increment in$\dot V_{O_{2 (max)} }$ than the CHFT formula for the experimental subjects (significantly so in the women), but it also predicted a large and spurious change in many of the controls, so that in the men responses did not differ between trained and control subjects. Further comparisons suggested that the CHFT procedure gave a closer approximation to direct treadmill estimates of training response than did the åstrand nomogram.