Der Mensch als Störgröße in der Umwelt des Rothirsches (Cervus elaphus L. 1758)

Zusammenfassung

Zwischen 1974 und 1995 werden über 290 Fluchtreaktionen des Rotwildes dokumentiert und analysiert. Als Kenngrößen werden der prozentuale Anteil der Verhaltensweisen, die durch das Fluchtverhalten unterbrochen werden (Ausgangsverhalten) (Tab. 1), der prozentuale Anteil der Verhaltensweisen, die auf das Fluchtverhalten folgen (Folgeverhalten) (Tab. 2), die zu Beginn der Flucht gewählte Fluchtgeschwindigkeit (Tab. 3), der Vergleich der Feinderkennungsentfernung (FE) mit der Fluchtdistanz (FD) bei den Windrichtungen „halb“, Störquelle zu Tier und Tier zu Störquelle (Tab. 4), die Fluchtstrategien (Deckung aufsuchen, Entfernung vergrößern, Übersicht gewinnen) bei den Windrichtungen (Tab. 5) und die Mittelwerte für die Feinderkennungsentfernung, die Fluchtdistanz, die Fluchtweite, den Mindestabstand für den ersten Beobachtungshalt, die mindest zurückgelegte Strecke für den ersten Beobachtungshalt und die Entfernung, ab der das Rotwild nach der Flucht ruhig zieht (Tab. 6 und 7) ermittelt. Die Auswertung erfolgt je nach Fragestellung für Kahlwildrudel, Hirschrudel und gemischte Rudel. Neben den Tageszeiten „Nacht“ und „Tag“ wird unter den Gesichtspunkten Lebensraumstruktur, Verhalten des Menschen im Lebensraum und Verhaltensphase des Rotwildes zwischen den Phasen Hochsommer bis Spätherbst und Winter bis Frühsommer unterschieden. Die Ergebnisse belegen den hohen Stellenwert der optischen Orientierung für das Feindverhalten des Rotwildes. Die Reichweite der Störgröße Mensch beträgt bei guter Deckung 300 m, bei Fehlen von Sichtschutz 500 m.

Summary

From 1974 to 1995 more than 290 flight reactions of red deer were documented and analyzed. The following parameters were determined:

The percentage of behaviors interrupted by flight (original behavior) (Tab. 1), the percent portion of behaviors directly following flight (subsequent behavior) (Tab. 2), the initial flight speed (Tab. 3), the comparison of the enemy recognition distance (FE) to the flight distance (FD) for the wind directions half, disturbing factor to animal and animal to disturbing factor (Tab. 4), the flight strategies (finding cover, increasing distance, gaining oversight) for the various wind directions (Tab. 5), the average values for the enemy recognition distance, flight distance, the minimum distance for the first observation, the least distance covered for the first observation, and the distance after which the red deer calmly move on (Tab. 6 and 7).

The evaluation of results are according to the type of herd — all female, all male, or mixed. The observations are also differentiated according to day and night, habitat, behavior of people in the habitat, and the seasonal behavior of the red deer for the phases summer to late fall and winter to early summer. The results evidence the high priority of optical orientation in the recognition of enemies among red deer. The range for the disturbing factor man is 300 m where good cover is present and 500 m where this is lacking.

Résumé

Entre 1974 et 1995 plus de 290 réactions de fuite du Cerf ont été documentées et analysées. Les grandeurs de référence suivantes ont été retenues: nombre relatif de comportements qui ont été interrompus (comportement de départ) (Tab. 1), nombre relatif de comportements qui succèdent à la réaction de fuite (comportement ultérieur) (Tab. 2), vitesse adoptée en début de fuite (Tab. 3), comparaison entre la distance à laquelle l'ennemi est identifié (FE) et la distance de fuite (FD) selon que le vent va de la source de dérangement vers l'animal, de l'animal vers la source de dérangement ou provient d'une direction intermédiaire (Tab. 4), stratégie de fuite (recherche d'un couvert, d'un plus grand éloignement ou d'une position permettant un champ de vue plus large) en fonction de la direction du vent (Tab. 5) ainsi que valeurs moyennes de la distance d'identification par rapport à la source de dérangement, de la distance de fuite, de la «courbe» de fuite, de la distance minimale parcourue avant la première halte, de la distance minimale parcourue avant la première halte mais en se rapprochant à nouveau de la source de dérangement ainsi que de la distance à partir de laquelle le Cerf, après la fuite, de déplace à nouveau d'assurance (Tab. 6 et 7). Le dépouillement des données a distingué, selon le cas, entre hardes de Non-boisés, hardes de Boisés et hardes mixtes. En plus des périodes diurnes ou nocturnes du nycthémère, on a tenu compte de la structure de l'habitat, du comportement des humains dans le même habitat ainsi que des phases d'activité du Cerf entre le plein été et la fin de l'automne et entre l'hiver et le début de l'été. Les résultats vérifient l'importance que revêt l'orientation visuelle pour le comportement du Cerf vis-à-vis de ses ennemis. La portée de l'homme comme élément de perturbation est de 300 m lorsque le couvert est bon, de 500 m lorsque manque un écran visuel.