References
Pour ces deux notions, voir Mario Perniola,L'Aliénation artistique (Paris: U.G.E., 1977), 10–18. Ed. italienne, Milano, Ugo Mursia Editore, 1971.
Voir, pour cette équivalence, Anne Cauquelin,Court traité du fragment, usages de l'œuvre d'art (Paris: Aubier, 1986), p. 10 etsq.
C'est retourner le sens d'une expression et d'un titre de Maurice Blanchot.
Se reporter à Paul de Man,The Rhetoric of Romanticism (New York: Columbia Univ. Press, 1984).
On sait la thèse de Gérard Genette dansFigures III — le discours ne peut imiter que du discours —, qui relève de ce truisme.
Cognitif est ici compris largement. Certains concluent, à partir de là, à une pragmatique — Rainer Warning, «Pour une pragmatique du discours fictionnel»,Poétique, n0 39, sept. 1979, p. 320.
Dans le cas de la déconstruction et dans celui de l'usage que les thèses de la représentation font de la notion d'intertextualité, cet ensemble est celui des écritures ou des discours.
Pour cette thématique, nous nous permettons de renvoyer à Jean Bessière,Dire le littéraire, points de vue théoriques (Bruxelles, Liège, Mardaga, 1990), chap. II, «Résiduel, autonomie et spécificité littéraire».
Pour une définition du terme et pour une analyse, voir Jean Bessière, «Rhétoricité et littérature: figures de la discordance, figures du partage — de Roland Barthes à Paul de Man»,Langue française, n0 79, sept. 1988, pp. 37–50; etDire le littéraire, op. cit., points de vue théoriques (Bruxelles, Liège, Mardaga, 1990), chap. II, «Résiduel, autonomie et spécificité littéraire», p. 238 etsq.
Marthes Robert,Roman des origines, origines du roman (Paris: Grasset, 1972), p. 235 etsq.
Voir Marie-Claire Ropars-Wuilleumier,Ecraniques, le film du texte (Lille: Presses Univ. de Lille, 1990), p. 22 etsq.
Pour ce type de remarque, voir Paul de Man,Blindness and Insight (London: Methuen, 1983), chap. X.
Paul de Man,Allegories of Reading, Figural Language in Rousseau, Nietzsche, Rilke and Proust (New Haven: Yale Univ. Press, 1979), en particulier le chapitre sur Proust.
Il faudrait caractériser ainsi l'implicite de la démonstration de Paul de Man, dans le chap. X deBlindness and Insight.
Pour l'indication d'une telle ambivalence de l'analyse du rapport de l'écriture à son antécédent, voir Jacques Derrida,Psyché, Invention de l'autre (Paris: Galilée, 1987), p. 225.
Pour une illustration, noter, dans Michel Butor,Boomerang (Paris: Gallimard, 1978), un tel jeu, en particulier dans le rapport établi entrelettres privées etdiscours littéraires.
Jean Catesson, «Narratologie restreinte et fiction généralisée»,Critique, n0 450, 1984, p. 924 etsq, précise ce point.
Voir Alain de Lattre,La Bêtise d'Emma Bovary (Paris: José Corti, 1980).
Jacques Derrida,Psyché, (Paris: Galilée, 1987), p. 21 etsq.
Voir Claude Reichler, «La littérature comme interprétation symbolique», Claude Reichler, éd.,L'Interprétation des textes, Paris, Ed. de Minuit, 1989, p. 81–114.
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Bessière, J. Représantation et antireprésentation: Rhétoricité, anaphore, vraisemblable paradoxal. Neohelicon 18, 203–226 (1991). https://doi.org/10.1007/BF02228668
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