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Les thèmes actuels de la logique déontique

Esquisse de l'état actuel des recherches dans la logique des normes

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A Monsieur le Professeur Jerzy Słupecki hommage reconnaissant

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References

  1. G. H. von Wright:Deontic Logic (Mind LX (1951), pp. 1–15), reimprimé dansLogical Studies, London, Routledge and Kegan Paul, 1957, pp. 58–74. Voir aussiAn Essay in Modal Logic, Amsterdam, North-Holland Publishing Company, 1951 (Studies in Logic and the Foundations of Mathematics), V. Deontic Modalities, pp. 36–41.

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  2. O. Weinberger:Die Sollsatzproblematik in der modernen Logik, Praha, 1958 (Rozpravy Československé Akademie Věd, Rada Spolecenskych Věd, LXVIII, 1958, 9). Le même sujet a déjà été esquissé par M. Weinberger dans un autre contexte et avec moins de détail dansÜber die Negation von Sollsätzen (Theoria XXIII 1957, pp. 102–132).

  3. E. Mally:Grundgesetze des Sollens. Elemente der Logik des Willens. Graz, 1926.

  4. G. Kalinowski:Introduction à la logique juridique, Paris, Librairie Générale de Droit et de Jurisprudence, 1965 (Bibliothèque de Philosophie du Droit, t. 3), ch. III. Logique des normes.

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  5. C. 7 (701 a 4–33). D'autres exemples du syllogisme normatif se trouvent dans l'Ethique à Nicomaque, 1. VII, c. 4 (1146 a 35, 1147 a 5 ss. et 1147 a 30 ss.). A ce sujet voirG. Kalinowski:Théorie des propositions normatives, Studia Logica I (1953, pp. 143–189), § 3. En marge de la théorie aristotélicienne.

  6. E. Husserl:Recherches Logiques, trad. franç. d'HubertElie, tome premier,Prolégomènes à la logique pure, § 14. A ce sujet voirG. Kalinowski:Logique des normes d'Edmund Husserl (Archives de Philosophie du Droit 10 (1965, pp. 107–116). La logique des normes de Husserl est aussi discutée parM. Weinberger (Die Sollsatzproblematik in der modernen Logik, pp. 106–108) qui se place cependant à un point de vue différent du nôtre. En réalité, le logicien tchécoslovaque critique, à juste titre, l'équivalence admise par Husserl entre les normes et les jugements de valeur, sa dichotomie des prédicats de valeur (il remarque pertinemment qu'il existe aussi bien des soldats ni lâches ni courageux que des soldats de l'une et de l'autre catégorie) et l'utilisation husserlienne de la négation dans la logique des normes.

  7. Rivista Internazionale di Filosofia del Diritto XXXVIII (1961), pp. 120–144.

  8. Pour des comptes rendus des communications du premier congrès voirRevue Internationale de Philosophie VIII (1954) et du deuxièmeLogique et Analyse I (1958).

  9. J. Joergensen:Imperatives and Logic (Erkenntnis VII (1937–1938), pp. 288–296);A. Ledent:Le statut logique des propositions impératives (Theoria VIII 1942, pp. 262–271);A. Ross:Imperatives and Logic (Theoria VII (1941), pp. 53–71), reimprimé dansPhilosophy of Science XI (1944), pp. 30–46.

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  10. G. H. vonWright:Norm and Action, London, Routledge and Kegan Paul, 1963 (International Library of Philosophy and Scientific Method). Voir à son sujet notre compte renduPossibilité et structure de la logique déontique (Archives de Philosophie du Droit X (1965), pp. 133–333).

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  11. Pour la bibliographie de ces auteurs voirA. G. Conte:Bibliografia di logica giuridica. Nos systèmesK 1 etK 2 ont été critiqués parM. Weinberger dans l'étudeThéorie des propositions normatives. Quelques remarques au sujet de l'interprétation des systèmes K 1 et K 2 de M. Kalinowski (Studia Logica IX (1960), pp. 7–21). A ce propos voir aussi notre réponse à M. Ota WeinbergerLa norme, l'action et la théorie des propositions normatives (Studia Logica XIV (1963), pp. 99–114).

  12. E. Husserl:Recherches Logiques, tome premier, § 14 et tome III, surtout les paragraphes 1 ss. et 67 ss.C. Cossio:La norme et l'impératif chez Husserl (Mélanges en l'honneur de Paul Roubier, Paris, Dalloz-Sirey, 1962, t. I, pp. 145–198), publié antérieurement sous le titreLa norma y el Imperativo en Husserl dansRevista de la Facultad de Derecho n-o 23(1951) Buenos Aires.G. Kalinowski:Problème de la vérité en morale et en droit (à paraître).

  13. J. Wróblewski:Zagadnienia teorii interpretacji prawa ludowego, Warszawa, Wydawnicwo Prawnicze, 1959, cz. 1, roz. II., recensé par l'auteur du présent article dansArchives de Philosophie du Droit 8 (1963), pp. 329–333.

  14. Notons en marge que les auteurs proclamant l'impossibilité de la logique des normes (au sens strict du terme) confondent le plus souvent les normes avec les impératifs ou avec les jugements de valeur (estimations). A notre avis il faut éviter aussi bien l'une confusion que l'autre, comme le font par exemple MmeOssowska (Podstawy nauki o moralności, Warszawa Spółdzielnia Wydawnicza „Czytelnik”, 1947) ou M. vonWright (Norm and Action). L'auteur du présente article essaie de son côté de justifier cette distinction dans ses étudesTeoria poznania praktycznego, Lublin, Towarzystwo Naukowe Katolickiego Uniwersytetu Lubelskiego, 1960 etProblème de la vérité en morale et en droit.

  15. Au sujet de tous ces logiciens consulter la bibliographie deM. Conte et quant à M. vonWright voir son livreNorm and Action, p. 133 ss. Leurs tentatives de construction d'une logique indirecte des normes sont discutées par l'auteur du présent article dans sonIntroduction à la logique juridique, ch. III, § 1 et dans son compte rendu deNorm and Action paru sous le titrePossibilité et structure de la logique déontique dans le numéro 10 (1965) desArchives de philosophie du Droit. En ce qui concerne l'idée wrightienne de la double interprétation de sa logique déontique, de l'interprétation directe en propositions normatives et de l'interprétation indirecte en normes, elle se situe dans le prolongement du parallélisme entre les normes et les propositions normatives, connu par plusieurs auteurs, par M. Kelsen en particulier. L'éminent théoricien autrichien du droit dit en effect ceci: „Si les normes juridiques ne peuvent être ni vraies ni fausses, parce qu'elles constituent des prescriptions, c'est à dire des commandements, des permissions, des habilitations, la question se pose de savoir comment il est possible d'appliquer aux rapports entre normes juridiques (ainsi que la fait depuis toujours la théorie du droit) des principes logiques, en particulier le principe de non-contradiction, et les règles du raisonnement; selon les idées traditionnelles en effet, ces principes ne sont applicables qu'à des assertions, qui peuvent être soit vraies, soit fausses. La réponse à cette question est la suivante: les principes logiques peuvent être appliqués aux normes juridiques, sinon directement, du moins indirectement, en tant qu'ils sont applicables aux propositions de droit qui énoncent ces normes juridiques, propositions qui peuvent être vraies ou fausses. Deux normes se contredisent, et l'on ne peut par suite pas affirmer à la fois que l'une et l'autre sont valables, si les deux propositions juridiques qui les décrivent se contradisent; et une norme peut être déduite d'une autre norme juridique, si les propositions juridiques qui les décrivent peuvent entrer dans le cadre d'un syllogisme logique.” (H. Kelsen:Théorie pure du droit, traduction française de la 2-e édition de laReine Rechtslehre par CharlesEisenmann, Paris, Dalloz, 1962, p. 101 s. Pour la critique (d'ailleurs discutable), de ce passage voirP. Amselek:Méthode phénoménologique et théorie du droit, Paris, Librairie Générale de Droit et de Jurisprudence, 1964, p. 186 ss.).

  16. J. Piaget:Introduction à l'épistémologie génétique, Paris, Presses Universitaires de France 1950, 3 t., tome premier, introduction.

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  17. Nous ne voulons cependant pas dire par là que la logique ne peut en aucune manière s'occuper de ce problème. Elle peut au contraire contribuer dans une certaine mesure à sa solution, comme en témoigne l'étude deM. J. Berg:A Note on Deontic Logic (Mind LXIX (1960), pp. 566–567). Son auteur y prouve que ce qui est non-logiquement (moralement ou juridiquement par exemple) impossible (défendu en l'occurrence)peut être vrai. Autrement dit la logique n'exclut pas a priori l'attribution aux normes des valeurs de vérité et de fausseté.

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  18. G. Kalinowski:Possibilité et structure de la logique déontique, p. 326.

  19. F. Oppenheim:Outlines of a logical analysis of law (Philosophy of Science XI (1944), pp. 142–160). Au sujet de MM. Wróblewski et von Wright voir plus haut notes 13 et 10.

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  20. H. Ofstad:Objectivity of norms and value-judgements according to recent skandinavian philosophy, (Philosophy and Phenomenological Research 12 (1951) pp. 42–68).

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  21. G. Kalinowski:Possibilité et structure de la logique déontique, p. 323 ss..

  22. O” se lit „il est obligatoire que...”, „F” „il est défendu que...”, „P” „il est permis que...” et „I” „il est indifférent que...”.

  23. H. N. Castañeda:On the Logic of Norms (Methodos IX (1957), pp 206–216).

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  24. M. vonWright est justement moins pédant que nous sur ce point. Mais pour rapprocher sa logique déontique du lecteur, nous nous sommes permis — espérant ne pas être désavoués par l'auteur — de préciser la lecture de ses expressions symboliques et leurs catégories sémantiques.

  25. La possibilité de la réitération normative est signalée aussi parM. Cossio, entre autres dans son étudeLa norme et l'impératif chez Husserl (Mélanges en l'honneur de Paul Roubier, Paris, Dalloz et Sirey, 1961, t. I, pp. 145–198), traduction française de l'articleLa norma y el imperativo en Husserl (Revista de la Facultad de Derecho, Buenos Aires, 23 (1951)). Le philosophe argentin du droit en donne l'exemple suivant: „Il faut qu'il faille que le locataire paie un loyer”, correspondant à la formule wrightienne „OO(d(∼pTp))” ou „OO(d(pTp))” selon qu'il s'agit du commencement ou de la continuation de l'acquittement du loyer par le locataire donné. D'après M. vonWright cependant le foncteur déontique réitéré porte encore sur un acte, sur l'acte d'édiction d'une norme, et non directement sur une norme.

  26. La logique de l'action pourrait être, pensons-nous, très avantageusement développée et précisée, si l'on y utilisait — à la place de la distinction wrightienne binaire entredoing etforbearing, la célèbre triade de Petrażycki: facere, non facere et pati (L. Petrażycki:O pobudkach postępowania i o istocie prawa i moralności, Warszawa, 1925, pp. 45 s.), discutée de manière si intéressante parMM. Frydman etRudziński (A. W. Rudziński:Z logiki norm, Kraków, Wydawnictwa Wydziału Prawa Uniwersytetu Jagiellońskiego n-o 8, 1947, pp. 20 ss. et les notes de 11 à 13 bis, pp. 56 s.)

  27. La différence entre la structure des normes chez M. vonWright et chez MM.Anderson etPrior est analogue à la différence entre les propositions modales de type „S est nécessairementP” et de type „Il est nécessaire queS soitP” par exemple.

  28. Voir surtoutL. Duguit:Etudes de droit public. L'Etat, le droit objectif et la loi positive, Paris, Fontemoing, 1901, p. 23 et id.Traité de droit constitutionnel, Paris, Fontemoing, 1927, t. I., p. 83. On y lit d'abord cette phrase qui paraît identifier la norme sociale à une proposition anancastique: „Énoncer une norme sociale ce n'est point formuler un commandement, un impératif, c'est suivant une terminologie souvent employée et que comme Kelsen j'applique à la norme juridique formuler un jugement hypothétique; c'est dire: Si A fait telle chose ou ne fait pas telle chose, n se produira; et n est un désordre social provoquant naturellement une réaction.” Mais la phrase suivante laisse supposer que la norme sociale et partant la norme juridique sont considérées comme des „directives” présupposant logiquement la „proposition anancastique” du type sus-indiqué. Duguit dit en effet: „Il faut donc que A fasse une certaine chose ou s'abstienne d'une certaine chose; autrement le désordre social se produit et par la même la vie individuelle et la vie sociale seront compromises”. (Traité de droit constitutionnel, p. 83). Cette autre phrase: „De même la norme sociale impose à tout individu la charge de collaborer, comme il le peut et dans la mesure où il le peut, à réaliser l'ordre social, car s'il ne le fait pas, il en résulte une perte collective, un préjudice individuel et aussi forcément une réaction sociale” (o. c., p. 21) parle également dans le sens de la deuxième supposition. Peut-être Duguit n'était-il pas conscient de la différence entre la norme et la proposition anancastique.

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  29. H. Bohnert:The Semiotic Status of Command (Philosophy of Science XII (1945), pp. 302–305).

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  30. Pour faire bref nous omettons les définitions correspondantes de „F”, „P” et „I” ainsi que la caractérisation précise de la logique modale aléthique et du calcul propositionnel impliqués par la logique déontique de M. Anderson dans chacune de ses trois variantes, simples transformations d'ailleurs de son étude initialeThe Formal Analysis of Normative Systems, New Haven, Yale University 1956 (Technical Repport. Program on Problem Solving and Social Interaction. Office of Naval Research. Group Psychology Branch. Contract No SAR/Nonr-609 (16)). On y rencontre déjà l'axiome „MNS” („Il est possible que la sanction ne soit pas appliquée.”) et la définition „Pα=dfMK αNS” („‘Il est permis que α′ signifie la même chose que, Il est possible que α et que la sanction ne soit pas appliquée’”). Pour expliciter le sens de „S” M. Anderson introduit la constante déontique „B” lue „quelque sanction (a bad state of affaires) s'en suit” et construit à son aide la définition suivante de „S”: „S=dfKMNBB” dont le sens est le suivant: „‘La sanction est appliquée’ signifie la même chose que ‘La sanction est appliquée, mais (et) il est possible que la sanction ne soit pas appliquée’”. M. Anderson a procédé successivement à trois simplifications de son système dansThe Formal Analysis of Normative Concepts (American Sociological Review XXII (1957), pp. 9–17),The Logic of Norms (Logique et Analyse I (1958), pp. 86–91) etA Reduction of Deontic Logic to Alethic Modal Logic (Mind LXVII (1958), pp. 100–103) évoqués dans le texte.

  31. A. N. Prior:Escapism: the Logical Basis of Ethics (Essays in Moral Philosophy, édited parA. J. Melden, University of Washington Press, Seattle, 1958, pp. 135–146).— Au sujet des rapports entre la logique déontique et la logique modale voir aussi EdwardDawson:A Model for Deontic Logic (Analysis XIX (1959), pp. 73–78), Jens ErikFenstad:Notes on Normative Logic (Avhhandiger utgitt av Norske Videnskaps-Akadeni i Oslo. II. Historisk-filosofiskklasse, 1959, 1, pp. 1–25) et RobertFeys:Expression modale du “devoir-être” (The Journal of Symbolic Logic XX (1955), pp. 91–92).

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  32. H. N. Castañeda:Obligation and Modal Logic (Logique et Analyse III 1960), pp. 40–48.

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  33. A. R. Anderson:The Formal Analysis of Normative Systems, p. 18.

  34. Sit venia verbo!

  35. A ce sujet voir aussiG. H. vonWright:On promises (Theoria XXVIII (1962) pp. 277–297).

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  36. Voir à ce sujet les travaux par exemple deMM. Joergensen, Ledent, Ross, Weinberger et vonWright signalés par la bibliographie deM. Conte.

  37. J. Gregorowicz:Z problemów logicznych stosowania prawa (Zeszyty Naukowe Uniwersytetu Łódzkiego, seria I. Nauki humanistyczno-spoŀeczne, zeszyt 32. Logika, p. 36).

  38. Voir notre compte rendu du livre deM. Gregorowicz dansArchives de Philosophie du Droit 9 (1964), pp. 320–322.

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  39. O. Weinberger:Über die Negation von Sollsätzen (Theoria XXIII (1957), pp. 102–132), p. 123.

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  40. G. H. von Wright:Norm and Action, London, Routledge and Kegan Paul, 1963, p. 140.

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  41. Les trois thèses en question font partie du systèmeK 1 (G. Kalinowski:Théorie des propositions normatives, p. 161).

  42. K. Jaakko, J. Hintikka:Quantifiers in deontic logic (Societas Scientiarum Fennica. Commentationes humanarum litterarum. XXIII (1958) 4, pp. 1–23). M. Jaakko Hintikka distingue aussi deux conjonctions d'actions. La définition de la première est la suivante:

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  43. VoirE. Husserl:Recherches Logiques, tome premierProlégomènes à la logique pure, §14, et notre articleLa logique des normes d'Edmund Husserl (à paraître dans lesArchives de Philosophie du Droit 10 (1965))M. Fisher:A three valued calculus for deontic logic (Theoria XXVII (1961), pp. 107–118); id.A system of deontic-alethic modal logic (Mind LXXI (1962), pp. 231–236);L. Åqvist:Postulate sets and decision procedures for some systems of deontic logic (Theoria XXIX (1963), pp. 154–175).

  44. G. Kalinowski:Théorie des propositions normatives p. 156.

  45. G. Kalinowski: l. c. Afin de distinguer les valeurs d'une action de celles d'une norme, lec premières sont symbolisées par “1*”, “1/2*” et “0*” et les secondes par “1” et “0”.

  46. A ce sujet voirA. N. Prior:The paradoxes of derived obligation (Mind LXIII (1954), pp. 64–65);R. N. Mc Laughlin:Further Problems of Derived Obligation (Mind LXIV (1955), pp. 400–402); G. H. vonWright:A note on deontic logic and derived obligation (Mind LXV (1956), pp. 507–509);N. Rescher:An axiom system for deontic logic (Philosophical Studies IX (1958), pp. 24–30);H. N. Castaneda:The Logic of Obligation (Philosophical Studies X (1959), pp. 42–48);A. R. Anderson:The logic of ‘commitment’ (Philosophical Studies X (1959), pp. 23–27);E. J. Lemmon andP. H. Nowell-Smith:Escapism: the logical basis of ethics (Mind LXIX (1960), pp. 289–300);N. Rescher:Conditionnal Permission in Deontic Logic (Philosophical Studies XIII (1962), pp. 1–6);A. R. Anderson:Reply to Mr. Rescher (Philosophical Studies XIII (1962), pp. 6–8); G. H. vonWright:Norm and Action, ch. IX, points 17 et 18;G. Kalinowski:Obligation dérivée et logique déontique relationnelle (Notre Dame Journal of Formal Logic, v. V, Nr 3, July 1964, pp. 181–190).

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  47. Toute cette discussion est évoquée de manière détaillée dans notreIntroduction à la logique juridique, ch. III, § V.

  48. Voir plus haut la note 46.

  49. G. H. vonWright:Norm and Action, London, Routledge and Kegan Paul, 1963, p. 186 s.

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  50. Voir aussi notre article cité plus hautObligation dérivée et logique déontique relationnelle.

  51. Rapporté parM. T. Czeżowski dans saLogika, Warszawa, Państwowe Zaklady Wydawnictw Szkolnych, 1949, pp. 137, s. et 227.

  52. A. Mostowski:Logika Matematyczna, Warszawa-Wrocŀaw, 1948 (Monografie matematyczne, t. XVIII), p. 131 s.

  53. Warszawa, Wydawnictwo Prawnicze, 1959, cz. III, roz. VI, § 2, 1 et 2.

  54. Torino,G. Giappichelli, 1962 (Università di Torino.Memorie dell' Instituto Giuridico, serie II, memoria CXI).

  55. (a proposito di un libro di AmedeoG. Conte) dansRivista Trimestrale di Diritto e Procedura Civile 1963 (fasc. 4), pp. 1634–1656.

  56. G. H. vonWright:Norm and Action, London, Routledge and Kegan Paul, 1963, ch. VIII, surtout point 5 (pp. 141–144).

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  57. Wróblewski: o. c.Zagadnienia teorii interpretacji prawa ludowego, Warszawa, Wydnwnicwo Prawnicze, 1959, cz. 1, roz. II., recensé par l'auteur du présent article dansArchives de Philosophie du Droit 8 (1963), p. 298.

  58. American Sociological Review XXII (1957), pp. 9–17; voir surtout p. 10 s.

  59. J. Wróblewski: o. c.Zagadnienia teorii interpretacji prawa ludowego, Warszawa, Wydnwnicwo Prawnicze, 1959, cz. 1, roz. II., recensé par l'auteur du présent article dansArchives de Philosophie du Droit 8 (1963), p. 183.

  60. G. H. vonWright:Norm and Action, London, Routledge and Kegan Paul, 1963, p. 144.

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Prace ta jest pierwszą z zaplanowanego przez Redakcję cyklu artykułów omawiających współczesny stan badań w różnych działach logiki.

Allatum est die 29 Septembris 1964

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Kalinowski, G. Les thèmes actuels de la logique déontique. Stud Logica 17, 75–107 (1965). https://doi.org/10.1007/BF02120516

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