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Literatur
Faute d'espace, nous renvoyons aux analyses de notre livreRéalisme et impressionnisme dans l'œuvre des frères Goncourt, Pise-Paris, 1971.
Lettre de Nicolas Poussin citée par Louis Hautecœur,Littérature et Peinture en France du XVII e au XX e Siècle, Paris, 1942, p. 15.
Physiologie du Mariage, X, 649. Nos références renvoient à l'édition de la Pléiade. Pour les variantes, de même que pour les anciennes divisions en chapitres, desChouans, nous renvoyons à l'édition Garnier réalisée par M. Maurice Regard, Paris, 1964.
D'après ses déclarations directes aussi bien que d'après les remarques qu'il glisse dans le texte du roman: cf. notamment VII, 765.
Cf. par ex. VII, 931: «délicieuses rusticités», «harmonies de la nature», «toutes les idées qu'on demande à un paysage»...
VII, 931. Coquille de l'édition de la Pléiade: «articles» au lieu «d'artifices». C'est la seule que nous signalons, dans les textes que nous citons ici.
VII, 971–72. Passages allégés par rapport notamment au manuscrit: cf. éd. Regard, pp. 510–11.
Cf. par ex. II, 186: «Un nuage errant qui, à chaque pas dans l'espace, change de couleur et de forme, sous un ciel parfaitement bleu, donne mille aspects nouveaux à chaque détail des paysages magnifiques qui s'offrent aux regards, en quelque endroit que vous vous placiez. De là,etc.»
II, 200: «Il eût été difficile de décider en ce moment où étaient les plus beaux paysages, car les nuages représentaient vaguement les plus majestueux glaciers des Alpes.»
Cf. par ex. la manière dont on rend sensible au lecteur le retour de la mère Tonsard au cabaret (VIII, 66).
L'un des «nocturnes» les plus suggestifs de Balzac se trouve en effet dansUne ténébreuse affaire (VII, 511).
Cf. un paysage lacustre surplombé par des montagnes qui, en modifiant les «conditions de l'optique et de la perspective», permettent à B. de nous faire voir le lac du Bourget, du haut de la Dent-du-Chat, «comme une turquoise égarée» (IX, 223–24); un champ traversé presque horizontalement par un éclairage de soleil couchant qui valorise les oppositions de couleurs et favorise le jeu des reflets (IX, 233–34). Autant d'éclaircies marquant un bref répit dans le déclin inexorable du héros, que ces évocations pénétrées de sensibilité vraie et ouvertes à des significations symboliques. Le luministe ne travaille jamais seul chez Balzac: c'est ainsi que l'éclairage vacillant de X, 304 doit contribuer à l'émotion de don Juan approchant du lit de son père, dansL'Elixir de longue vie.
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Caramaschi, E. Paysages Impressionnistes chez Balzac. Neohelicon 5, 33–60 (1977). https://doi.org/10.1007/BF02093133
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