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Literatur
Passages tirés de Lanson, «Essais de méthode de critique et d'histoire littéraire», pp. 66 et 67 (Reproduction d'une conférence prononcée à l'Ecole des Hautes Etudes Sociales en 1904 et imprimée la première fois dans laRevue de Métaphysique et Morale, T. 12, p. 621).
Cf. Cahiers de l'AIEF, 1964 (L'Histoire littéraire traditionnelle) p. 111.
Cf. Pommier,La Querelle, RHLF, p. 82.
Sur la théorie de Gadamer, in: Gadamer-Kuhn, «Sonderheft zur Logik der Sozialwissenschaften»Philosophische Rundschau, février, 1967, p. 160.
Philosophische Rundschau, ibid. Sur la théorie de Gadamer, in: Gadamer-Kuhn, «Sonderheft zur Logik der Sozialwissenschaften», citée de Gadamer,Wahrheit und Methode, (Tübingen, 1965).
Sur la théorie de Gadamer, (sous le sous-titre): «Hermeneutischer Ansatz»,Philosophische Rundschau, février, 1967, p. 161.
L'idée de la «trahison créatrice» avait été souvent formulée par Robert Escarpit. Notre citation reproduit sa dernière formulation, tirée, duLittéraire et la social (Paris 1970), p. 28.
«le sens ... n'existe que dans l'unité synthétique d'une aperception» et «Andromaque n'existe que dans la mesure où je lis ou je vois la pièce» [Pourquoi la nouvelle critique, (Paris, 1969), pp. 195 et 194].
W. McDougall avait publié une première synthèse de recherches dans la lignée de Pavlov et de Bechterev (1908). Mais on étaitloin d'une application à l'art.
«Introduction à la psychologie bibliologique», citée in:Le littéraire et le social, p. 291.
Ibid., «Introduction à la psychologie bibliologique», citée in:Le littéraire et le social, pp. 291–292.
Ainsi qu'il soit auteur d'une théorie purement philosophique, il est tentant de rappeler ici Sartre. Il affirme qu'il s'agit d'une pensée totalisante qui prête une signification (intégrale) à la vie du lecteur, jusque là en mal de signification! (Pensée exprimée au cours du Débât à la Mutualité, reproduite dansQue peut la littérature, p. 122).
La pensée de Pavlov est exposée dans une publication de 1949 —(Pavlovskie Sredi). Notre référence s'appuie sur le résumé excellent de Elemér Hankiss, in:Az irodalmi kifejezésformák lélektana (Budapest: Akadémiai Kiadó), 1970, p. 109.
E. Hankiss a fait l'historique de ce débat,Op. cit., in: Az irodalmi kifejezésformák lélektana (Budapest: Akadémiai Kiadó), 1970, pp. 109–113. Notre solution cependant diffère de la sienne (Cf.infra).
Konrad Lorenz, le célèbre psycho-sociolouge du monde animal a constaté l'individualité des instincts. Mais, lamanifestation de ceux-ci chez les humains n'est jamais à l'état pur.
Fondant ainsi ce que Kardiner appelle la personnalité de base. (Cité d'après le rappel de Gilbert Mury, «Sociologie du public littéraire», in:Le Littéraire et le social, p. 212–213).
Ibid. Fondant ainsi ce que Kardiner appelle la personnalité de base. (Cité d'après le rappel de Gilbert Mury, «Sociologie du public littéraire», in:Le Littéraire et le social, p. 217. — D'ailleurs: La méthode employée pour atteindre le palier profond fut l'entretien non-directif.
Alors que dans certains pays, les bibliothécaires des moindres dépôts de province conduisent des enquêtes de lecture, dans d'autres ces enquêtes se font rares. Des sondages nationales n'ont été faits que dans quelques pays, (La France, La Hollande, l'Allemagne, La Hongrie) et nous ne disposons d'aucune enquête de dimension internationale.
Nous nous fondons ici sur une hypothèse: si les enquêtes, sondages sur la fréquence de la lecture nous font reconnaître dans tous les pays industrialisés ces quatre grands groupes, nous supposons que la qualité (le mode compréhensif) de lecture s'articule sur ces mêmes entités.
Dans la dernière étude de son recueilPour une lecture ouvrière de la littérature (Paris, 1970).
Paris, Flammarion, 1965, p. 70.
Ibid., Paris, Flammarion, 1965, p. 71.
Ibid., Paris, Flammarion, 1965, p. 71.
Claude Simon, l'éminent représentant du «Nouveau roman» parle aussi bien de l'écriture comme bricolage, que C. Levi-Strauss.
Rappelons à ce sujet quelques tentatives d'explication: Sartre a supposé dansQu'est-ce que la littérature que l'écrivain est à la poursuite de la liberté humaine. Joseph Gabel, dans laSociologie de l'aliénation, a montré que le concept marxiste de l'aliénation était fondée dans la psychiatrie mais que l'écrivain pouvait assumer et défaire son aliénation en écrivant. Robert Sévigné, sociologue québecois décrit l'aliénation comme «mode de contradiction». Il constate que «l'homme devient un étranger dans la société, sa personnalité et ses rôles sont en conflit, il ne possède plus d'identité, ni continuité, ni unité». A ces vues de théoriciens on peut ajouter d'affilée la pensée de Michel Butor pour qui «on écrit afin de changer sa vie» et l'essai romanesque de Heinrich Böll qui a représenté dans le choix d'un jeune bourgeois de devenir clown une tentative de récupération psycho-sociale audacieuse. Son héros a pu totaliser sa personnalité et approfondir sa lucidité grâce à son choix extravagant et ironique qui consistait à jouer au violon au coin d'une rue. (Ansichten eines clowns). Les pensées de Sévigny sont extraites de «Pour une psychologie de l'aliénation», in:Sociologie et Sociétés. Celles de M. Butor d'une interview de Ch. Garnier, déjà citées par nous, in RLC, No. 177 (1971).
Op. cit., p. 51.
Paris, 1972.
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Sarkany, S. Histoire littéraire traditionnelle et sociologie moderne de la lecture. Neohelicon 2, 65–80 (1974). https://doi.org/10.1007/BF02092969
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