Klima und Erholung

Zusammenfassung

Übermüdung im engeren Sinne verursacht Störungen innersekretorischer und vegetativer Art und führt zu einem krankhaften Zustand mit Änderungen der Tonuslage des vegetativen Funktionsmechanismus und zu abwegigen oder Fehlreaktionen. Zur Erholung und Revitalisierung ist eine Klimakur angezeigt, da dieselbe eine Reaktions-und Funktionsumstellung des Organismus bewirkt, wodurch Fehlsteuerungen der Reizbeantwortung gedämpft oder geändert und normalisiert werden. Die Allgemeinwirkung der Umstimmung durch das Klima beruht großenteils auf dem Mechanismus der unspezifischen Reizwirkung. Ihr Angriffspunkt ist in das gesamte aktive Mesenchym einschließlich des RES zu verlegen und ist vornehmlich innersekretorischer und vegetativer Art. Der Funktionsumfang und die Funktionsgröße des aktiven Mesenchyms machen eine Schädigung beim Übermüdungsprozeß verständlich, um so mehr, da es sich bei der Übermüdung um einen als pathologisch zu bezeichnenden Dauerzustand handelt. Diese Zusammenhänge zwischen Übermüdung und Klimawirkung erklären den günstigen therapeutischen Erfolg einer Klimakur.

Der Funktionswandel, die Umstellung während einer Klimakur, wird mit Untersuchungsergebnissen kurvenmäßig zu begründen versucht. Es werden allgemeine Hinweise für die Wahl des geeigneten Klimas (Schonklima, mäßiges oder mittelstarkes oder ausgesprochenes Reizklima) entsprechend der Konstitution und Reaktionsfähigkeit und des Gesundheitszustandes des Erholungsbedürftigen angeführt sowie Angaben über Kurdauer, um einen Erfolg erwarten zu können. Für leichtere Fälle der Übermüdung und einen eventuell notwendigen Milieuwechsel dürften 3–4 Wochen genügen. In schwereren Fällen und solchen, die durch pathogenetische Faktoren oder vorausgegangene Krankheiten kompliziert sind, ist die Kurdauer in Abhängigkeit vom Heilungs- und Genesungsprozeß zu bemessen. Eventuell ist eine Wiederholung der Klimakur notwendig, um den Erfolg zu sichern (Wechselkuren). Kurmäßiges Vorgehen und Verhalten sichern den Erfolg.

Résumé

Le surmenage, au sens étroit du mot, entraîne des troubles du type végétatif et endocrinien et conduit à un état pathologique qui se caractérise par une altération du tonus neuro-végétatif et la déficience ou le dérèglement des réactions de l'organisme. Il est recommandé de suivre pendant la période de convalescence et de rétablissement une cure climatérique, car celle-ci a l'effet salutaire de renverser les tendances fonctionnelles et réactionnelles de l'organisme et donc d'atténuer le dérèglement des fonctions d'excitation ou même de les corriger et de les normaliser. Le processus général de la modification opérée par le climat découle en majeure partie du mécanisme de déclenchement des excitations non spécifiques, dont le point d'application doit être situé dans l'ensemble du tissu conjonctif embryonnaire actif, y compris le système réticulo-endothélial, et se trouve être avant tout de type végétatif et endocrinien. Etant donné le périmètre et l'intensité fonctionnels du tissu conjonctif embryonnaire actif, il est d'autant plus compréhensible que le processus du surmenage aboutisse à une lésion, qu'il s'agit, dans le cas du surmenage, d'un état permanent, qu'il convient donc de considérer comme pathologique. Ce sont ces correspondances entre le surmenage et l'action du climat qui permettent d'expliquer les succès thérapeutiques obtenus par les cures climatériques.

On essaye également de confirmer cette modification fonctionnelle, ce renversement opéré par une cure climatérique en établissant des diagrammes à l'aide des résultats fournis par les investigations; on note également des indications d'ordre général afin de faciliter le choix du climat le mieux approprié (climat calmant, ou bien modérément stimulant, assez ou typiquement excitant) en fonction de la constitution, la capacité de réaction et l'état de santé du convalescent; y sont jointes des précisions sur la durée qu'il faut donner à la cure pour qu'elle apporte les bienfaits qu'on en attend. Dans les cas de surmenage assez bénin ou, éventuellement, d'un besoin de changement d'air, 3 à 4 semaines devraient suffire. Dans les cas plus graves et ceux compliqués par des facteurs pathogénétiques ou les séquelles d'anciennes maladies, il convient de déterminer la durée du traitement par le climat en fonction du degré de guérison et de rétablissement. Il est parfois nécessaire de répéter la cure pour obtenir plein succès (cures alternées). En définitive, c'est par une application correcte et un comportement en conformité des prescriptions de la cure qu'est assuré le succès.