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The efficiency of universities

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Abstract

The purpose of this article is to explore the nature of the “output” of a university and of the inputs to it, in order to see how far measures of productivity or efficiency can be devised. It is assumed to be desirable to use the resources of the institution, necessarily limited, as efficiently as possible in the pursuit of its objects. But there are logical difficulties about any overall measure of efficiency: a university is not like a coal mine. However, useful results can be obtained from a partial approach, and a number of suggestions are offered. A central difficulty is the lack of a sufficient understanding of the nature of the work-load which is most likely to make a person of high intellectual ability effective. It is suggested that a variety of tasks is essential: and this has implications for the use of ancillary staff. A number of sub-sections of university activity can be made more productive provided that minimum standards of performance can be specified. This is occasionally easy, but the specification of performance for (e.g.) central administration is a difficult matter. It is suggested that over-enthusiasm for the better use of buildings and equipment may not always be wise, but that common-sense and operational research can nevertheless lead to significant savings in the use of capital resources.

Résumé

Le but de l'article est d'explorer, dans le cas d'une université, la nature de “l'output” qu'elle produit et des “inputs” qu'elle reçoit, pour voir jusqu'à quel point on peut procéder à des mesures de productivité ou d'efficacité. On part du principe qu'il importe d'utiliser les ressources de l'institution, qui sont forcément limitées, aussi intensivement que possible pour atteindre ses objectifs. On rencontre évidemment toutes sortes de difficultés logiques dès que l'on veut procéder à une mesure adéquate d'efficacité: une université n'est pas une houillère. Cependant, on peut atteindre à des résultats utiles par une approche partielle du problème. La difficulté principale réside dans l'ignorance relative où nous sommes de la quantité de travail qui est capable de donner son maximum d'efficacité à une personne d'une grande capacité intellectuelle. On suggère que la variété des tâches est une variable essentielle; ce qui a des conséquences dans l'utilisation du personnel technique. On peut rendre plus productifs certains types d'activité universitaire, pourvu qu'on puisse préciser des niveaux minimum d'accomplissement. Si cela peut parfois se faire aisément, la définition de l'accomplissement dans le cas de l'administration centrale est une chose difficile. On suggère aussi que le zèle extrême déployé pour l'optimisation de l'emploi des locaux et des installations n'est pas toujours très sage, mais que le bon sens et la recherche opérationnelle peuvent néanmoins conduire à des économies sensibles dans l'emploi des ressoureces.

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Carter, C.F. The efficiency of universities. High Educ 1, 77–90 (1972). https://doi.org/10.1007/BF01956882

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