Notes
P. Moreau,Montaigne, Paris, 1966, chap VIII, p. 126.
J. Y. Pouilloux,Lire les “Essais” de Montaigne, Paris, 1970, p. 29.
Cf. H. Friedrich,Montaigne, Paris, 1968, p. 259–361. F. Gray.Le style de Montaigne, Paris, 1958, p. 206.
A la vérité cette constatation n'est guère probante, étant donné la dé limitation et l'application imprécises des “partes artis”, rangeant Montaigne parmi les é crivains baroques. Cf. W. J. A. Bots,Montaigne, Catholique Humaniste et Ecrivain baroque. Essai d'Analyse Rhétorique, Neophilologus, vol. LXIII (1979), p. 344.
Cf.op. cit. p. 207.
Y. Delègue,Du paradoxe chez Montaigne, CAIEF, XIV, 1962, p. 241–253.
Cf.L'Apologie de Raimond Sebond, où Montaigne démontre par un raisonnement antithétique la nécessité d'harmoniser la foi et la raison, voir W. J. A. Bots, op. cit. p. 338–344.
Il serait possible de parler avec Charles Mauron de “métaphores obsédantes”.
Michel Baraz,L'être et la connaissance selon Montaigne, Paris, 1968, p. 38.
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Bemelmans, J., Bots, W.J.A. De l'art de conférerou l'apprentissage de la modestie dans la recherche de la méthode. Neophilologus 66, 504–507 (1982). https://doi.org/10.1007/BF01956496
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DOI: https://doi.org/10.1007/BF01956496