Conclusions
Les données précitées montrent que le rythme de la ségrégation sexuelle mâle: femelle est le même que celui obtenu en croisant un caractère avec un facteur dominant hétérozygote avec un caractère récessif homozygote. Il en résulte:
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1
que la différence entre le sexe mâle et le sexe femelle est due, chez la volaille, à un seul facteur mendélien;
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2
que l'un des deux sexes est un monohybride, l'autre se comportant comme un récessif homozygote.
Literatuur
Les excitants chimiques ou physiques capables de déclancher la division cellulaire dans l'ovule pourraient servir à l'étude du sexe femelle.
Voir Contribution à l'Etude du barrage de la plume chez, la volaille.J. L. Frateur. Bulletin 14 Institut de Zootechnié. Louvain 1914.
Hurst, Davenport, Cunningham, Morgan etGoodale, Bonhote, Punnett etBailey se sont occupé de la question, surtout à l'occasion de l'étude d'autres caractères. Il en résulte que les résultats ne sont pas toujours certains. Nos travaux montrent que la patte bien emplumée diffère de la patte nue par deux facteurs complémentaires, mais dont le facteur de base est quantitatif.
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Frateur, J.e.J. La nature mendélienne du sexe étudiée par le rythme de la ségrégation mendélienne. Genetica 7, 103–110 (1925). https://doi.org/10.1007/BF01674789
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DOI: https://doi.org/10.1007/BF01674789