Über das Verhältnis von Phänomen und dem zugeordneten Gignomen zu einander im Lebewesen

Summary

The author refers to his book “Die Selbstgestaltung des Lebendigen, synoptische Theorie des Lebens als ein Beitrag zu den philosophischen Grundlagen der Naturwissenschaft” (Munich, 1955) and comments some basic theses of it, namely the body-soul-relation, the gestalt and the problem of the “soul” of the plant and the significance of these conceptions for the description and the understanding of the realizing (forming) itself of the living being. The Author prefers not to call a soul the transcendent order which is propre to a plant, as to all what lives, and which is the consequence of their quality as a gestalt. He designs with J.Reinke the transcending order of the plant with the name “diaphysis”. He names his theory of life autotelism and has some hope that it can reconcile mecanism and vitalism in the idea of identity of the so called parallel processes in different ontological dimensions. The duality of body or organism and soul or “innen” is a result only of human thinking, really they are a whole together and do not work upon another, but what happens in the one of them, happens at the same moment in the other one like in a mirror. The unity of both has been stated so often, that it sounds rather trivial, but in the book cited above it is described and argued exactly in that sense that phenomene and gignomene (feeling, thinking, will) in one and the same life process are correspondent structures in different ontological dimensions, coordinated to one another, as it were, like two mathematical co-ordinates.

The author replies to a critic who has doubts about the possibility of our thinking to approximate to the problems in question. He designs that kind of thinking which is adequate to that purpose.

R'esumé

L'auteur se réfère à son livre „Die Selbstgestaltung des Lebendigen, synoptiscne Theorie des Lebens als ein Beitrag zu den philosophischen Grundlagen der Naturwissenschaft” (Munich, 1955) et commente quelques de ses thèses basales, à dire la relation du corps et de l'âme, la gestalt et le problème de l'âme de la plante et l'importance de ces notions pour la description et l'entendement de la réalisation de l'être vivant par lui-même. Il préfère de ne pas nommer un âme l'ordre transcendant qui est propre à la plante comme à tout être vivant et qui est la conséquence de leur qualité comme une gestalt. Il désigne avec J.Reinke l'ordre transcendant de la plante comme „diaphysis”. Il nomme sa théorie autotelisme et il a un peu d'espoir qu'elle peut reconcilier mécanisme et vitalisme par l'idée de l'identité des si-nommés „evénements parallèles” en dimensions ontologiques diverses. La dualité corps ou organisme et âme ou „innen” n'est qu'un résultat de la raison humaine, en réalité ils sont une unité ensemble et n'agissent pas l'un sur l'autre, mais qui arrive dans l'un d'eux, arrive dans l'autre au même instant comme dans un miroir. L'unité des deux est affirmée si souvent, que cela semble presque trivialement, mais dans le livre cité cela est décrit et argumenté exactement dans le sens, que phénomène et gignomène (sentiments, pensées, volonté) dans le même procès de vie sont structures correspondantes dans diverses dimensions ontologiques, qui sont coordonnées l'une à l'autre, pour ainsi dire, comme deux coordinates mathematiques.

L'auteur replique à un critique qui doute qu'il y ait moyen pour notre méthode de penser de s'approcher aux problèmes en question. Il désigne la méthode de penser, qui est adéquate à ce propos.