Frakturen im höheren Lebensalter: Wie sensitiv sind postalische Fragebögen?

Zusammenfassung

Im Rahmen der Europäischen Prospektiven Osteoporosestudie wurden zur Beurteilung der Validität postalischer Fragebögen zu Frakturen im höheren Lebensalter (50+) 144 Männer und Frauen Befragt, die in den vorangegangenen 12 Monaten in einem städtischen Krankenhaus wegen einer Fraktur behandelt worden waren. Die falsch negativen Antworten zur Frage nach einer Fraktur in diesem Zeitraum lagen mit 8% der Befragten niedriger als in anderen vergleichbaren Studien. Art und Häufigkeit der Befragung sind dabei von Bedeutung. Dagegen war das beigefügte Körperschema nur in zwei Drittel der Fälle geeignet, die Frakturlokalisation darzustellen. Eindimensionale Darstellung, geringe Grösse und fehlende Skeletteinzeichnung ergeben zu einem Drittel fehlerhafte Frakturlokalisationen.

Summary

Within the European Prospective Osteoporosis Study the validity of a postal questionnaire concerning fractures in the elderly was assessed. A sample of 144 men and women aged 50 to 84 hospitalized in an urban hospital due to fractures within the past 12 months was investigated. Eight percent of the respondents denied any recent fracture and turned out to be false negatives, less than previously recorded. Mode and frequency of questioning seem to influence the results. To assess fracture localisation, we used a graphical method (mannequin). Due to various factors, one third of all localisations were incorrect.

Résumé

Nous avons interrogé, dans le cadre de l'enquête européenne prospective sur l'ostéoporose, 144 hommes et femmes traités à la suite d'une fracture dans un hôpital communal dans les 12 mois précédents, afin d'évaluer les questionnaires envoyés par courrier et portant sur les fractures chez les personnes âgées (50 ans et plus). Les taux de faux négatifs dans les réponses à la question portant sur une fracture survenue dans cette période s'élevait à 8% des personnes interrogées, pourcentage plus bas que dans d'autres enquêtes analogues. Le type et la fréquence des interviews jouent un rôle important. Par contre l'adjonction d'une représentation schématique du corps humain ne permettait que dans deux tiers des cas de situer la fracture. Une représentation unidimensionelle, de taille réduite et l'absence de représentation du squelette sont à l'origine dans un tiers des cas des localisations incorrectes des fractures.