Über die Lungeninnervation

Zusammenfassung

Mit Hilfe der Methylenblau- und der Osmiumjodidfärbung, der Cholinesterase-Reaktion, der Monoaminooxydase-Reaktion und der Falck-Hillarpschen Reaktion wurde einerseits eine Untersuchung der Innervationsverhältnisse der Lunge angestellt und anderseits nachgeforscht, ob und wo sich im Lungengewebe cholinergische und adrenergische Substanzen befinden.

Bezüglich der Innervation der Bronchien lieferte die Osmiumjodidmethode die schönsten Ergebnisse. Der Nachweis des Vorhandenseins von Nervenfasern im Lungenparenchym gelang jedoch nur mit Hilfe der Methylenblaufärbung und der Cholinesterase-Reaktion.

Die Untersuchung mit der Cholinesterase-Reaktion erbrachte außerdem, daß im Lungengewebe eigenartige, größtenteils außerhalb des vegetativen Nervennetzes gelegene cholinesterasepositive Zellen in ziemlich großer Anzahl vorkommen.

Auf Grund dessen wird angenommen, daß in der Lunge ein zwiefaches cholinergisches Regulationssystem besteht, welches einerseits auf dem Einfluß des eigentlichen vegetativen Nervennetzes beruht, anderseits von einem System Azetylcholinproduzierender Zellen gebildet wird. Obgleich der Nachweis des Vorhandenseins adrenergischer Nervenfasern im Lungengewebe bisher nicht gelungen ist, wird auf Grund der Tatsache, daß es in der Lunge katecholamin- (und/oder serotonin-) haltige Zellen gibt, angenommen, daß in der Lunge ebenfalls ein zwiefaches adrenergisches Regulationssystem existiert.

Ferner wird bemerkt, daß das vegetative Gleichgewicht im Lungengewebe nicht nur durch eine Verschiebung der von den Nervenfasern und den Azetylcholin bzw. Katecholamine und/oder Serotonin enthaltenden (produzierenden?) Zellen abgesonderten Quantität gestört werden kann, sondern auch, unter anderem bei der Allergen-Reagin-Reaktion, durch das Freiwerden biologisch aktiven Histamins aus den Mastzellen und andere bei dieser Reaktion freiwerdende Substanzen, wie z.B. Bradykinin und die sogenannten “slow-reacting-substances”.

Summary

Methylene blue and osmium iodide staining, the cholinesterase and monoaminooxidase reactions and the Falck-Hillarp reaction were used in a study of the lung innervation on the one hand and, on the other hand, in an attempt to establish whether and where pulmonary tissue contains cholinergic and adrenergic substances.

The osmium iodide technique was found to yield the best results with regard to the bronchial innervation. Demonstration of nerve fibres in the lung parenchyma, however, succeeded only with the aid of methylene blue staining and the cholinesterase test.

Studies with the cholinesterase reaction in addition showed that pulmonary tissue contained a relatively large number of peculiar cholinesterase-positive cells, for the most part localized outside the network of vegetative nerves.

On the basis of these findings it is postulated that the lungs contain a dual cholinergic regulatory system, based on the one hand on the influence of the vegetative network proper, and on the other hand on a system of acetylcholine-producting cells. Although it has so far been impossible to demonstrate the presence of adrenergic nerve fibres in pulmonary tissue, the fact that the lungs contain catecholamine- (and/or serotonin)-bearing cells is interpreted as suggesting that the lungs also contain a dual adrenergic regulatory system.

It is pointed out that the vegetative equilibrium in the pulmonary tissue can be disturbed, not only by a change in the amount of acetylcholine or catecholamine-and/or serotonin-bearing cells in the nerve fibres, but also by the release — e.g. in the allergenreagin reaction — of biologically active histamine from the mast cells, and other substances such as bradyquinine and the so-called slow-reacting substance.

Résumé

La coloration au bleu de méthylène et à l'iodure d'osmium, la réaction à la cholinestérase, la réaction à la mono-amino-oxydase et la réaction de Falck-Hillarp ont été utilisées, d'une part, pour étudier les conditions d'innervation dans les poumons et, d'autre part, pour rechercher si et où l'on trouve des substances cholinergiques et adrénergiques dans le tissu pulmonaire.

En ce qui concerne l'innervation des bronches, c'est la méthode de coloration à l'iodure d'osmium qui a donné les résultats les plus favorables. Toutefois, la mise en évidence de la présence de fibres nerveuses dans le parenchyme pulmonaire ne s'est avérée possible qu'en recourant à la coloration au bleu de méthylène et à la réation à la cholinestérase.

Les recherches effectuées à l'aide de la réation à la cholinestérase ont d'autre part révélé que le tissu pulmonaire renferme und grand nombre de cellules, donnant une réaction positive à la cholinestérase, qui sont d'un type particulier et qui sont en grande partie situées en dehors du réseau neurovégétatif. Partant de cette observation, on admet qu'il existe dans les poumons un double système de régulation cholinergique qui repose, d'une part, sur le réseau neurovégétatif proprement dit et qui est constitué, d'autre part, par un système de cellules productrices d'acétylcholine. Bien que l'on n'ait pas réussi jusqu'à présent à mettre en évidence la présence de fibres nerveuses adrénergiques dans le tissu pulmonaire, on suppose, en se basant sur le fait qu'il existe, dans les poumons, des cellules qui renferment des catécholamines (et/ou de la sérotonine), qu'il y a également dans les poumons un double système de régulation adrénergique.

L'auteur fait encore remarquer que l'équilibre végétatif dans le tissu pulmonaire peut être perturbé, non seulement par une modification quantitative sous l'influence des fibres nerveuses et des cellules qui renferment (ou produisent?) soit de l'acétylcholine, soit des catécholamines et/ou de la sérotonine, mais également, entre autres, par une mise en liberté d'histamine biologiquement active notamment lors d'une réaction antigène-anticorps ou par d'autres substances, telles que la bradyquinine et les “substances à réaction lente” (“slow-reacting-substances”) mises en liberté à l'occasion de cette réaction.