The effect of clinical and social factors on the discharge of chronic psychiatric patients

Summary

1. Long-stay patients who had been discharged from one psychiatric hospital were compared with long-stay residents at the same hospital by means of a clinical rating of severity of illness. — 2. The discharged patients tended to have less severe illness, but among patients with only moderate symptoms no correlation was found between rating and discharge. — 3. Two groups of patients with moderate symptoms, one discharged and the other resident, were compared in respect of sex, age and marital state, diagnosis, previous admission and duration of stay in hospital. — 4. The resident group contained a significantly larger number of unmarried persons and the average duration of stay was significantly longer than that of the discharged group. Men under 40 were more likely to be discharged, but no other item was significantly different between the two groups. — 5. Matched pairs of discharged and resident patients with moderate symptoms were compared on several indices of social competence and contact with community life. — 6. In a significantly larger number of discordant pairs the discharged partner had an uncommitted relative living (usually a parent) and more numerous and durable community bonds. — 7. These findings are compared with those of other authors and their significance is discussed.

Résumé

1. Des patients qui avaient été licenciés d'un hôpital psychiatrique après un séjour de longue durée ont été comparés avec des patients depuis longtemps hospitalisés. Cette comparaison s'est faite sur la base d'estimations cliniques de la gravité de la maladie. — 2. Les patients sortis de l'hôpital ont tendance à être moins gravement atteints, mais parmi les patients présentant des symptômes modérés, aucune corrélation n'a pu être établie entre cette appréciation et la sortie. — 3. Deux groupes de patients avec des symptômes modérés, l'un sorti et l'autre hospitalisé, ont été comparés en ce qui concerne le sexe, l'âge, la situation conjugale, le diagnostic, les hospitalisations antérieures et la durée du séjour hospitalier. — 4. Le groupe résidant comprenait un nombre nettement plus important de gens non mariés et la durée approximative de l'hospitalisation était bien plus longue que celle du groupe des malades sortis. Les hommes de moins de 40 ans avaient plus de chances d'être libérés, mais aucune différence marquante n'a été notée entre les deux groupes. — 5. Des groupes de deux personnes assorties, l'une ayant quitté l'hôpital et l'autre hospitalisée, avec des symptômes modérés, ont été comparés sur la base d'indices de sociabilité et de contact social. — 6. Dans un nombre beaucoup plus grand de paires non assorties, le partenaire vivant hors de l'hôpital avait auprès de lui une personne disponible (généralement un des parents) et avait des liens sociaux plus nombreux et plus durables. — 7. Ces résultats sont comparés avec ceux d'autres auteurs et leur signification est discutée.

Zusammenfassung

1. Entlassene Patienten mit langem psychiatrischen Hospitalaufenthalt wurden mit einer gleichen Gruppe nichtentlassener Patienten desselben Hospitals verglichen, und zwar im Hinblick auf den klinischen Schweregrad ihrer Krankheit. — 2. Die entlassenen Patienten zeigten einen weniger schweren Krankheitsverlauf. Bei Patienten ohne produktive Symptomatik wurde jedoch keine Korrelation zwischen Entlassung und Krankheitsschwere gefunden. — 3. Es wurden Gruppen entlassener und nichtentlassener Patienten ohne produktive Symptome in bezug auf Geschlecht, Alter, Personenstand, Diagnose, frühere Aufnahme und Krankenhausbehandlungsdauer verglichen. — 4. Die Gruppe der im Krankenhaus Verbliebenen zeigte eine signifikant höher liegende Anzahl Unverheirateter. Die durchschnittliche Behandlungsdauer lag in dieser Gruppe höher als bei den Entlassenen. Bei Männern unter 40 J. bestand eine größere Wahrscheinlichkeit auf Entlassung, jedoch unterschieden sich in dieser Hinsicht beide Gruppen nicht signifikant. — 5. Vergleichbare Paare entlassener und nichtentlassener. Patienten mit blanden Symptomen wurden im Hinblick auf weitere Sozialfaktoren untersucht. — 6. Bei einer signifikant größeren Anzahl diskordanter Paare hatte der entlassene Partner einen lebenden Verwandten (gewöhnlich ein Elternteil) sowie zahlreichere und dauerhaftere Gemeinschaftsbeziehungen.