Abstract
This article investigates the peculiar history of sociology of deviance and criminology in France, from the end of the 19th until now. In the 1880s, the criminal questions invade the intellectual debate. I show how sociology (Gabriel Tarde and the Durkheimians) was largely built against biomedical determinisms. Then, the criminal question has conducted doctors and lawyers to join forces in the first half of the 20th century in order to develop the first criminological institutions, or “criminal sciences.” In the 1950s and 1960s, Jean Pinatel would try to elaborate a synthesis out of this but he would fail to institutionalize a criminological discipline. Yet, from the 1970s, sociology of deviance has known a rennaissance in the scientific field, partly because of the influence of American sociology of deviance and British critical criminology. Since then, the social sciences are the first producers of scientific knowledge about the criminal phenomena, the criminal justice system (police, justice), and about the public policies of security and prevention. However, between 2007 and 2012, in a political context of neo-conservatism, the need to institutionalize the criminological discipline in France led to a controversy.
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Notes
In this paper, we resume and actualize researches published in French (Mucchielli 2014).
The CNU is the national body that is in charge of the career management aspects of academia in France, including qualifications and recruitment. It is divided into discipline sections.
As the name (‘Military School’) suggests, l’Ecole militaire, founded at the end of the eighteenth century, under Louis XV, is home to several public organizations in charge of training (senior) officials from the various Army corps.
It should be observed that the text does not even mention “clinical criminology”, which on the other hand, is the only one some other public reports, as well as many authors, are interested in.
For example, Jean Pradel, 70 years old, is still professor of penal law at the Catholic Institute of High Education in La Roche-sur-Yon (a private institution whose « institutional guarantor » is the lord of Luçon in Catholic Church. We can also noted that J. Pradel possess the title of « Chevalier de l’Ordre de Saint-Grégoire-le-Grand », a decoration directly delivered by the Vatican. He share this decoration with may other French personalities among we find Patrick Buisson, a former extreme-Right activist and consultant for N. Sarkozy presidential campaign of 2012 (L. Petit, « Le Vatican donnerait-il une consigne de vote déguisée? », Le Monde des religions, 10 February 2012).
Despite the efforts of Xavier Pin, professor at the University of Lyon 3, in the animation of a “multidisciplinary conference of the research centers and qualifications leaders in criminology” during 2012 and 2013 (see the “Communiqué de la Conférence pluridisciplinaire des directeurs de centres de recherche et de diplômes en criminologie”, Revue de sciences criminelles et de droit pénal comparé, 2012, 2, 469–472).
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Mucchielli, L. Sociology of Deviance and Criminology in France: History and Controversies. Am Soc 48, 276–296 (2017). https://doi.org/10.1007/s12108-017-9340-6
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